Les bienfaits du Qi gong par Martine Bosc

Abonnement immédiat à Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

 

Arrivée à New Delhi – Présentation de Yogi Rasananda – Yoga Pondichéry

Abonnement immédiat à Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

Yoga Lyon – “Mais où est ma moitié?” par François Yogesh

Abonnement immédiat à Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

L’amour que l’on porte à sa moitié

Bonjour mes amis, François, expert de yoga et méditation.

Aujourd’hui j’ai choisi de répondre à une question qui m’a été faite lors d’un commentaire qui faisait suite à une vidéo où on m’a dit « ce serait bien que tu fasses une vidéo sur l’amour que l’on porte à sa moitié ».

Ça me fait un peu rire, oui, vous voyez il y a déjà le concept de l’amour et le concept de la moitié. Est-ce que déjà ça va vraiment ensemble ? Je ne sais pas. Il ne me semble pas…

Amour et/ou attachement

Parce que déjà sur le plan habituel, sur la manière que l’on a la plupart du temps de considérer l’amour, c’est vraiment complètement à relier à des émotions qui nous sont propres nous en tant qu’être humain parce que si on se manifeste sous forme humaine c’est sous l’emprise d’une émotion perturbatrice prédominante qui est le désir et l’attachement et c’est ça qui, sur le plan karmique, fait qu’une âme individuelle se manifeste sous un corps humain, c’est le désir et l’attachement.

Et le désir et l’attachement et l’amour, on fait vraiment un amalgame entre les deux. Bon, ce ne sont que des mots, on peut se faire des définitions très différentes les uns des autres mais sur la manière dont on expose ça nous, lorsque nous sommes des enseignants de yoga et qu’on développe des réflexions philosophiques sur ces sujets là, eh bien on dit qu’effectivement, ça peut se ressembler, cet amour mondain qui en réalité serait plus du désir et de l’attachement et cet amour qui serait un amour beaucoup plus pur.
Un amour pur, simplement. Ça peut se ressembler mais ce n’est pas du tout la même chose.

Sur le plan du yoga, on pourrait même dire ultimement que l’amour et le yoga c’est la même chose.

Quand il n’y a plus rien

J’avais lu ça quelque part, j’avais trouvé ça intéressant, c’était quelqu’un qui était en fin de vie et qui était en train d’avoir une réalisation vraiment profonde sur le plan spirituel et qui expérimentait des choses qui commençaient à s’approcher de la pure vérité et qui témoignait comme ça, au travers de mots, même si ça reste insatisfaisant et qui disait « quand il n’y a plus rien, il ne reste plus que l’amour ».
Et je pense que ça, c’est beaucoup plus proche de ce qu’est vraiment l’amour.

Ultimement, on pourrait dire que l’amour c’est l’union, donc l’amour c’est le yoga.

C’est pas du tout la même chose.

Le nom et la forme

Nous, sur le plain mondain, on est très attaché au nom et à la forme, à tout ce qui se manifeste sur le plan mondain, auquel on attribue un nom que l’on manifeste sous un plan, une forme, que l’on peut appréhender avec nos sens, que ce soit au niveau visuel, du toucher, avec l’ensemble de nos sens.

On est très guidés par nos instincts de désir, d’attachement. Encore, il n’y a pas longtemps, j’entendais ça de la part de quelqu’un qui disait « oh mais quand on va en Inde, ces indiens qui ont la peau mate avec des cheveux noirs, qu’est-ce qu’ils sont beaux ! ».
Tout ça pour exprimer ce rêve qui serait de pouvoir avoir un mari indien, simplement parce que sur l’aspect de la forme, on est très attiré par quelque chose, on aurait le désir idéalement, si on pouvait avoir le choix, d’avoir un tel mari, donc on est très attachés à la forme.

Bon, nous les hommes, c’est-à-dire les êtres humains du genre masculin, on sait très bien qu’on a une tendance à être très attachés à la forme, à l’esthétique, aux attributs féminins et on appelle ça de l’amour.

En réalité c’est plutôt du désir et de l’attachement, ça n’a strictement rien à voir. C’est quelque chose que l’on veut s’approprier. On est en priorité beaucoup plus sensible à manifestations extérieures qu’à l’aspect profond des choses et des êtres.

Quand on dit l’amour que l’on porte à sa moitié, autrement dit, ce serait comme si c’était une non question, une question qui sur le plan du yoga n’a pas de sens.

Parce que bien sûr, je pourrais faire un développement sur le plan mondain, c’est-à-dire sur le plan sur lequel on définit l’amour pour le plus grand nombre d’entre nous, mais à ce moment là ce serait plus du domaine des sociologues, des gens comme ça, je ne suis pas le plus qualifié pour répondre à ça. D’ailleurs je vis seul en ce moment et depuis un moment, donc ce n’est pas mon expertise.

Mais si vous posez cette question en tant qu’enseignant de yoga, alors là oui, je peux dire que ça n’a aucun sens sur le plan de la philosophie du yoga.

Pourtant, toi, la personne qui écoute cette vidéo et qui a posé cette question, si tu écoutes et que tu te reconnais, je t’aime mais au-delà de ce que tu peux être au niveau de ta forme, etc. Je t’aime, tout simplement.

Bref, c’est une non question au niveau du yoga.

Le concept de moitié

Vous savez, il y a le concept de moitié après. J’ai déjà amorcé une réponse là-dessus, mais le concept de moitié, c’est-à-dire que moi je serais une moitié et qu’en face il y aurait ma moitié. C’est-à-dire ces deux choses séparées l’une de l’autre comme ça.

C’est comme si on créait une séparation, une division entre les deux. Et de toute division nait un désordre, un chaos, un conflit. C’est vraiment l’inverse de l’union.

L’interdépendance et l’impermanence

On a besoin de l’autre, ou en tout cas on a le sentiment d’avoir besoin de l’autre pour être plein. Et ça c’est complètement illusoire. Parce qu’en fait, tout ce qui est composé de partie comme ça, par nature, est imparfait. Pourquoi ? Parce que par nature, tout ce qui est composé de parties, donc, est impermanent. C’est-à-dire qu’un jour c’est là, un autre jour ça ne sera plus là, c’est sûr, tôt ou tard.
Des fois plus rapidement qu’on ne le pense.

Mais à un moment où à un autre, les choses qui sont composées de parties comme ça, bougent et se séparent, se transforment et c’est plus forcément comme on le voulait. On a tendance à vouloir figer les choses et ce n’est pas comme ça que la vie fonctionne. Quand on fait ça, on se sépare, on se coupe de la vie vraiment, on est bien loin de l’union, du yoga.

La souffrance générée

Si on attend toujours quelque chose de celui ou celle qu’on appelle l’autre moitié, on vivra toujours des tourments et on sera loin de l’union.

Déjà si on est seul, on va déjà peut être souffrir de devoir trouver sa moitié.
Et ayant trouvé sa moitié on se rendra peut être compte à quel point ça n’a pas été facile de trouver celui ou celle que l’on appelle sa moitié aujourd’hui.
Ensuite, on va souffrir de garder sa moitié, parce que ma foi, quelque part, même si on n’a pas envie de se l’avouer, pas envie de se le dire parce que ça nous plait pas, on n’a pas envie de voir ça mais on le sait très bien et avec ça on souffre, de la peur de prendre sa moitié.

Donc on est aussi soumis à cette peur d’avoir sa moitié, de la connaître, et aussi soumis à cette peur de garder sa moitié parce que ma foi on n’est sûr de rien et à un moment ou à un autre on va perdre sa moitié.
Aujourd’hui c’est pas rare que l’on perde sa moitié en cours de vie et beaucoup plus vite que ce que l’on croit et dans le meilleur des cas, si l’on peut appeler ça comme ça, de toutes façons au moment de la mort on sera séparés.

Donc d’une manière ou d’une autre, tôt ou tard, et là encore, on va souffrir.

Bref, si l’on a besoin d’une autre partie pour se sentir plein, on va de toute façon être soumis à de nombreuses souffrances, de nombreux tourments. On idéalise, mais on se méprend complètement.

Le sens du couple

Donc après la question peut se poser, mais à quoi ça pourrait servir d’avoir un partenaire ?

Sur le plan du yoga encore une fois puisque je me refuse de répondre sur un plan que je ne connais pas, sur le plan mondain demandez à d’autres personnes, il y a plein de gens qui sont dans le développement personnel, des choses comme ça, qui vous donneront d’autres éléments de réponses.

Si on a un autre partenaire il pourrait y avoir qu’une utilité, c’est de s’élever l’un et l’autre, de se tirer l’un et l’autre vers le haut, de faire en sorte que l’on soit chacun l’un pour l’autre une espèce de catalyseur qui permette de nous élever spirituellement, qui nous permet jour après jour de devenir une meilleure version de soi même et qu’on puisse mesurer ça, quand on porte un regard vers un an en arrière, qu’on puisse dire « oui vraiment ensemble on a cheminé, on s’est élevés, on s’est bonifiés, on est devenus de meilleurs êtres humains »; rien que cela c’est déjà très bien et c’est une première étape à atteindre avant de se prétendre un être spirituellement élevé, vous voyez se raconter ce genre d’histoires à dormir debout… devenons simplement humain, arrêtons de compliquer les choses encore et encore, toujours et toujours…

Dans ce sens là ça sert, si c’est quelque chose qui permet d’acquérir plus de puissance pour ça, alors là, oui, il y a un sens. Mais si c’est pour être dans ces tourments, dans ces jeux psychologique où on se cherche les uns les autres en permanence et on se cherche l’un et l’autre, on se fait souffrir, on a peur, pas confiance, ça ne sert pas à grand-chose, surtout si il y en a ne serait-ce que l’un sur les deux qui se sentirait tiré vers le bas, la relation ne sert pas à grand-chose. Et à coup sûr si l’un se sent tiré vers le bas et l’autre vers le haut, obligatoirement on est dans une espèce de jeu psychologique qui est malsain.
C’est ce que je pense, désolé !

Ce qu’on peut faire, simplement, pour peut être vivre l’amour sur le plan du yoga, sur le plan  de la pureté de l’amour, c’est intéressant de se placer du point de vue de son âme et se relier à son être le plus profond, à cet être vraiment intime qui est en nous.

C’est-à-dire que l’âme puisse s’observer elle-même. C’est vraiment l’être intime de votre être le plus profond.
Et laissez cet être intime être le témoin de ce mental, laissez le être celui qui règne sur ce qui vous anime, sur ce souffle de vie, cette énergie, ce prana qui anime tout… vécu comme cela de manière spontanée, on est au coeur du yoga et on est loin du simple cours de yoga à lyon, du yoga los angeles, du yoga bourgeois quoi… 🙂

Mâ Ananda Moyi

Et je voudrais terminer par une citation que j’ai notée de Mâ Ananda Moyî, une grande sainte indienne du XXe siècle, peut être l’une des plus grandes, ou en tout cas la plus connue sur le plan du yoga en Inde.

Elle disait :

« Les plaisirs que vous avez dans la vie dépendent des sens et des objets matériels, ils sont toujours passagers. Savez-vous ce qu’est la béatitude ? C’est ce qui ne dépend de rien d’autre, elle est en soi, parfaite, réelle, éternelle. Elle se révèle comme le soleil. »

Voilà. Bonne chance avec ça, débrouillez vous avec ça ! Si vous voulez aller un peu plus loin, on va bientôt commencer le cycle « 2 mois pour une vie nouvelle » donc je programme une conférence avec une présentation du cycle fin novembre et on va commencer dès le début du mois de décembre. Alors si vous voulez apprendre à méditer pour vivre plus de bonheur et de plénitude, être plus heureux et bine notez ça sur votre agenda. D’ailleurs vous allez tous recevoir un message si vous êtes déjà dans la liste de diffusion, si vous écoutez cette vidéo et que vous n’y êtes pas encore, vous allez sur l’un des sites et remplissez l’un des formulaires, donnez votre nom, expliquez que vous voulez être invité également et vous pourrez faire partie des participants.

Si vous avez aimé cette vidéo, cliquez sur J’aime. Si vous n’êtes pas encore abonné, faites le maintenant, comme ça vous êtes au courant dès la sortie d’une nouvelle vidéo.

 

 

 

Yoga et relations humaines: ” l’écoute!” par François Yogesh Lyon

Pré-inscriptions immédiates  et sur demande aux conférences de présentation du cycle de formation ici (quel que soit votre lieu de résidence): « 2 mois pour 1 vie nouvelle »

Pour retrouver les vidéos les plus récentes, abonnez-vous dès maintenant à la  Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

Formation de méditants partout en France; renseignements ici: « 2 mois pour 1 vie nouvelle »

L’écoute

Bonjour mes amis, François, expert de méditation et de yoga à Lyon.

Je voulais donc vous parler aujourd’hui de quelque chose qui touche aux relations entre nous, entre êtres humains, où parfois tout ne se passe pas au mieux, comme on le souhaiterait, on a l’impression de ne pas être vraiment compris, pas être respecté, on aimerait être plus écouté, peut être plus aimé en fin de compte, plus pris en considération et avoir ce sentiment que celui que l’on a en face de soi, que ce soit dans le domaine privé ou professionnel, puisse nous écouter un peu plus.

Un méditant authentique sait écouter

Au final, un méditant est un observateur et pourtant je remarque invariablement que beaucoup  pratiquants de yoga, que ce soit à Lyon ou n’importe où ailleurs, sont très nombreux à ne pas écouter, à être vraiment très peu enclins à ce réflexe d’écouter.

Soit on n’écoute pas du tout, soit très peu, soit on pense à ce qu’on a envie de dire soi même, ce qui fait qu’on donne l’impression d’écouter, mais en réalité on n’est pas en train d’écouter et on pense déjà ce qu’on a besoin de dire ensuite, d’ailleurs parfois je m’amuse un peu parce que dans certaines circonstances je demande aux gens « qu’est ce que je viens de dire ? » et je vois la personne incapable de reformuler ce que je viens de dire, alors que la personne faisait mine d’écouter. Mais elle était déjà dans son monde et en fait, elle a complètement zappé ce que j’étais en train de dire.
D’ailleurs, à son plus grand étonnement, la personne se rend compte qu’elle n’a absolument rien écouté, c’est assez rigolo… Evidemment on est loin du chemin du yoga et si l’on “fait” sa séance hebdomadaire de yoga, voir quotidienne, il convient de réfléchir quel sens nous donnons à cette pratique du yoga. 

L’écoute active et le silence intérieur

Si l’on prétend “faire” du yoga une pratique spirituelle, il convient de savoir pratiquer le silence et en particulier le silence intérieur, celui qui permet de pratique l’écoute active, celui qui permet de prendre vraiment en compte la présence d’autrui.

Bref, il y a simplement une première catégorie de personnes qui sont tellement tournées vers elles-mêmes, qui ont tellement peu d’intérêt pour autrui qu’évidemment, on ne voit pas l’intérêt d’écouter… Ces personnes sont dans la domination, dans le fait de ramener les choses à elles-mêmes, là évidemment c’est normal que de telles personnes n’écoutent pas et on est très loin de ce que devrait être un pratiquant de yoga.
Soit, à moindre degré, on a envie de délivrer son message, mais on reste assez omnibulé par ça et donc on sait qu’il faut écouter, qu’il faut respecter un peu, on est un minimum éduqué, mais on n’écoute pas toujours jusqu’au bout et bien souvent, avant même que la personne ait pu terminer son propos, on l’aura coupée, et on ne s’en rend pas compte parce que c’est une habitude qu’on a pris tout simplement, on laisse pas les gens finir de s’exprimer.
Et du coup on reformule encore moins ce qu’elles ont dit pour s’assurer qu’on les a compris, c’est très rare les gens qui ont cette habitude de reformuler ce que son interlocuteur leur a dit pour s’assurer qu’on a bien compris ce qu’on nous a dit.
Déjà on est incapable de le faire si on n’écoute pas vraiment, on ne peut pas reformuler quelque chose qu’on n’a pas retenu, pour lequel on n’a pas porté une écoute suffisante, c’est impossible.

La peur, encore et toujours…

Parfois on n’écoute pas non plus parce qu’inconsciemment, on a peur de se faire dominer, on a peur d’être en état d’infériorité si on ne s’exprime pas assez, bref, on a peur de ne pas être aimé, pas considéré à sa juste valeur ou en tout cas comme on le souhaiterait.

En réalité, c’est pas vraiment une force de s’exprimer, de parler au dessus d’autrui, de ne pas écouter, de parler plus que la moyenne, plus que son interlocuteur. C’est, au contraire, une faiblesse…
Parce que ça traduit une peur de ne pas pouvoir s’affirmer suffisamment, on se sent vulnérable, on a peur de laisser de l’espace à l’autre, on a l’impression qu’il va nous envahir, nous dominer.

Une faiblesse qui se révèle

Ça traduit plus une faiblesse, le fait d’être un peu comme ça, dans cette attitude dominante, de vouloir parler par-dessus l’autre, vouloir imposer sa parole, ça traduit plus une faiblesse.

Il est important de développer notre pratique de la méditation au quotidien dans nos relations à autrui, notre manière de communiquer, de reconnaître nos habitudes, de prendre conscience de si l’on écoute ou pas… Le yoga c’est aussi cela.

Comment faire?

Alors nous, à notre niveau, comment faire pour être plus écouté ? Tout simplement, il faut donner de l’importance à l’autre, le rassurer par rapport a ses peurs, lui permettre de s’exprimer et l’écouter attentivement, retenir tout ses propos, pratiquement mot pour mot je dirais, pour être capable ensuite de reformuler ce qu’on a compris.

Et si vous faites ça, naturellement la personne va se sentir prise en considération, comprise, écoutée, aimée, rassurée, elle n’aura pas peur de vous écouter à son tour.

Essayez ça, vous allez voir, ça fait toute la différence ! Si vous pouvez appliquer ça, même si là j’aurais passé 5-6 minutes c’est court.

Vous avez vu d’ailleurs il y a peu, j’ai proposé un stage sur améliorer sa communication et développer son intelligence émotionnelle. Intéressez vous à tout ça.
Là quand j’ai proposé un stage c’est sur un weekend, vous voyez on en parle 5 minutes, mais si j’en parle en détail, si je fais des démonstrations, si je vous mets en situation de vous entrainer pour vous approprier tout ça, ça peut faire une différence énorme dans votre vie, vous n’imaginez même pas. Je pense qu’en déjà 5-6 minutes, vous pouvez ressentir que vous avez déjà des petits clés, imaginez si on passe une vingtaine d’heures à travailler sur ces choses.

En tout cas essayez de vous regarder, de vous observer vous-même pour voir si vous écoutez vraiment, si régulièrement vous êtes capables de laisser les personnes s’exprimer jusqu’au bout de leur propos sans leur couper la parole, et, ce serait la cerise sur le gâteau, d’être capable de tout retenir et de reformuler, voire même encore mieux, lui demander s’il y a autre chose, pour lui permettre d’aller encore plus loin dans sa liberté de s’exprimer.
Vous verrez ensuite de votre côté que vous n’aurez aucune difficulté à vous exprimer, la personne sera totalement rassurée et ouverte pour vous écouter.

Voilà la clé pour être écouté, c’est déjà vous-même, commencez par écouter, montrer l’exemple.

J’espère que ça vous a plu ! Si c’est le cas, cliquez sur J’aime et abonnez-vous à la chaine si ce n’est pas encore fait.

A bientôt mes amis, au revoir !

Yoga part dieu: “Les 3 attitudes d’esprit et l’apprentissage”

Pré-inscriptions immédiates  et sur demande aux conférences de présentation du cycle de formation ici (quel que soit votre lieu de résidence): « 2 mois pour 1 vie nouvelle »

Pour retrouver les vidéos les plus récentes, abonnez-vous dès maintenant à la  Chaîne YouTube.

LIBEREZ-VOUS du STRESS avec
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
Accès IMMEDIAT et GRATUIT ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

Les 3 attitudes d’esprit et l’apprentissage

Bonjour chers amis, François, expert de méditation et de yoga à Lyon..

Une petite histoire…

Je voulais partager avec vous une petite histoire que j’ai lue sur une page d’un ami, sur sa page Facebook, un ami qui vend des produits d’information, soit sous forme de PDF, soit sous forme d’audio, de vidéo, c’est quelqu’un qui est dans la formation, pas dans le yoga, pas à Lyon mais à Paris; bref, c’est quelqu’un avec qui j’ai une relation étroite et donc on est en communication.

Sur sa page Facebook, il nous partageait aujourd’hui un copier-coller de quelqu’un qui lui demandait de rembourser un produit, la personne, en l’occurrence, n’était pas contente du produit et voulait absolument se faire rembourser et elle l’a attaqué de manière frontale en lui disant « écoutez si vous ne me remboursez pas, je vous assigne en justice », sans chercher à établir quelque dialogue que ce soit au préalable… sympathique non?

Si ça se trouve, en établissant un dialogue, ça pourrait bien se passer. Cette agressivité révèle un peu des peurs, la peur qu’on ne sera pas capable d’avoir un dialogue avec l’autre. C’est un certain manque de confiance en soi qui s’exprime comme ça. Comme je le répète très souvent le yoga c’est rétablir l’unité avec son être profond, et sur un un élémentaire, c’est déjà avancer sur toutes ces choses là, la peur, la confiance en soi etc…

Bref, a un moment donné, par rapport à cette histoire, mon ami va rembourser cette personne, comme ça, ça ne fera pas d’histoires inutilement. Par ailleurs en commentaires sur Facebook une personne disait « si tu le rembourses, où est la leçon, l’apprentissage ? ». Je me suis dit que j’allais faire une vidéo dessus parce qu’en plus ça fait le lien avec les deux dernières vidéos sur l’écoute et sur l’apprentissage, ça permet d’aller un peu plus loin dans cette réflexion, sur ces sujets.

La bonne attitude d’esprit

Où est la leçon, l’apprentissage si tu le rembourses ? C’était Céline qui répondait ça, moi de mon côté j’ai répondu simplement : Céline, dans la vie il y a 3 catégories de personnes par rapport à l’apprentissage, 3 attitudes d’esprit : la personne qui est dans cette attitude d’esprit, c’est-à-dire qui est comme un réceptacle, et qui est prêt à recevoir ce qui est versé dans ce réceptacle, prêt à recevoir les expériences que la vie lui donne, de les laisser reposer, murir, pour que ça puisse se développer, se transformer en expérience personnelle… ce sont les personnes en paix avec elles mêmes, ou qui ont acquis, d’une manière ou d’une autre, une certaine maturité, ou encore des pratiquants de yoga avancés.
Une telle attitude permet d’évoluer jour après jour, mois après mois, année après année, ce qui fait que dans le temps et au fur et à mesure que le temps s’écoule et qu’on avance dans notre vie, finalement on devient un meilleur soi même… Car au fond, n’a-t-on  pas  toujours à apprendre de partout de la part des uns des autres, vraiment de partout, on a tellement de choses à apprendre.

Donc ça c’est la bonne attitude d’esprit, dans ces conditions, eh bien on peut imaginer qu’il y a une leçon qui va être donnée mais qui sera retenue et qu’ après une période d’apprentissage, ça va se transformer véritablement en expérience et avec ma foi, de nouveaux savoir faire, de nouveaux savoir être, des choses plus adaptées pour qu’on soit plus heureux soi même, et puis qu’on ait des relations plus harmonieuses avec son environnement et qu’on puisse amener une part de contribution, peut être plus importante au monde. C’est dans ces conditions qu’on va pouvoir avancer… Si vous suivez la voie du yoga, il est important de développer une telle attitude, bref, d’ouvrir son esprit…

La passoire

Mais, nous sommes aussi beaucoup à ne pas être dans ce cas de figure.
Il y a un 2e cas de figure, ici, vous voyez, c’est une passoire. Là c’est tourné dans le bon sens, et là, vous pouvez verser tout ce que vous voulez, eh bien ça passera toujours à travers… Vous pouvez recevoir un nectar de grâce avec les enseignements les plus précieux, donnés par le plus habile et le plus qualifié des maîtres de yoga que cela ne changera rien… C’est le problème précisément quand on n’écoute pas, c’est-à-dire qu’on a l’impression d’être là et puis de se nourrir de la situation, de ce qui nous est dit, de ce qu’on est censés apprendre, on a l’impression d’observer, de regarder, de vivre une expérience, mais en réalité, notre mental étant tellement fragmenté (*)  on n’est pas vraiment là et quelques minutes après parfois, on ne sait plus ce qu’il s’est passé, on passe à autre chose, on ne prend pas le temps de se poser, de murir tout ça.

Bref, ça ne reste pas. Dans ces conditions, l’apprentissage n’est pas possible, si on a une telle attitude, le chemin qui mène au yoga n’est même pas emprunté.

Il faut vraiment développer sa concentration (dharana) et son discernement (viveka) et être guidé pour ça, bien sûr. Parfois, c’est pas facile à faire tout seul, donc si c’est nécessaire c’est bien d’être guidé. Mais en tout cas, cette attitude ne nous permet pas de construire une expérience puisqu’on ne retient rien pour permettre à cette expérience de se construire.

L’hermétisme

La dernière attitude, c’est celle-ci, où là, le réceptacle est bon si vous voulez, mais il est complètement retourné à l’envers, vous pouvez verser tout ce que vous voulez, ça passera toujours à côté, quel que soit le volume d’information que vous verserez avec un tel réceptacle, comme il n’est pas tourné du bon côté, tout passera à côté et il n’y a absolument rien qui pourra se développer comme expérience parce qu’il n’y aura aucune matière pour que cette expérience se développe. On est dans une situation comme ceci où on est fermé d’esprit. Là aussi, face à une telle attitude, vous pourriez vous appeler Jésus, Bouddha, Milarepa ou Shankaracharya, vous pouvez avoir des Siddhis ( accomplissement issus de la pratique du yoga) incroyables que vous resterez complètement démunis pour obtenir le moindre résultat face à une telle attitude.

La fin de l’intelligence

Souvent on pense tout savoir, tout connaître, on est enfermé dans nos croyances et à ce sujet, Krishnamurti, ce grand philosophe indien,  qui est source d’inspiration pour des millions de personnes  passionnées par la philosophie du yoga, la philosophie hindoue disait que quand on est comme ça, c’est la fin de l’intelligence, si on pense ne plus rien avoir à apprendre, effectivement on s’arrête là, on sait tout. C’est le gros problème quand on n’écoute pas.

Avancer, ajuster, affiner, progresser

Parce que quand on écoute, c’est aussi comme ça qu’on a la possibilité de reconsidérer des choses, de peut être procéder à certains ajustements pour être un peu plus aligné avec soi même, être un peu plus juste, développer un peu plus de sagesse. Voilà, on procède par petits ajustements petit à petit, ça devient de plus en plus juste ce que l’on fait, ce que l’on pense, la manière dont on agit… si l’on chemine correctement vers le yoga nous avons plutôt une telle attitude.

Besoin les uns des autres

On a besoin les uns des autres pour ça, on a besoin de s’écouter, on n’est pas obligés d’être d’accord avec tout, mais bien souvent si on écoute, ça va nous aider à nous améliorer encore et encore.
C’est pour ça, au passage, que je tiens à tous vous remercier, qui que vous soyez, parce que parfois, avec certains d’entre vous, eh bien je m’arrête un peu, je réfléchis à ce que vous dites, à vos réflexions, en particulier lorsque ce sont des réflexions qui sont de nature à me remettre en cause, où vous n’êtes pas à 100% d’accord avec moi, parfois c’est vraiment intéressant et ça me permet de progresser.

Parfois, c’est vrai que j’ai développé un niveau d’expérience sur le yoga, sur certaines choses et cela me permet bien sûr d’avoir des convictions qui sont solides et puis ma foi, j’ai des ancrages suffisants pour savoir que la direction que je prends est la bonne. Mais par contre, sur certaines choses, ça me fait vraiment progresser.

Merci pour votre échange. Et c’est avec bonheur que je vous donne ce que je peux partager avec vous, comme je le fais ici.  

En tout cas, retenez que des 3 attitudes d’esprit face à l’apprentissage, il n’y en a qu’une où il est possible de pouvoir avancer dans sa vie, c’est celle-ci.

Je vous dis à bientôt pour une prochaine vidéo.
SI vous avez aimé celle-ci, cliquez sur J’aime. SI vous n’êtes pas abonné à la chaîne, faites le maintenant !

A bientôt mes amis, au revoir !

 

(*) yoga = état de cessation des activités fragmentées du mental ou “yoga chitta vritti nirodha”

Yoga et méditation à Lyon: “L’intelligence”

Pour retrouver les vidéos les plus récentes, abonnez-vous dès maintenant à la  Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

L’intelligence

Bonjour chers amis, François, expert de yoga, méditation et autres techniques de bien être à Lyon.

L’intellect et l’intelligence

Aujourd’hui je voulais vous parler du concept, parce que c’est un concept, de l’intelligence, que l’on associe déjà assez systématiquement au développement intellectuel.
Alors que bon, quand on reste enfermé dans un mode intellectuel en fait, ça nuit considérablement à l’expression de notre intelligence.

Et c’est ainsi, qu’au final, sur le plan de l’humanité, on fait beaucoup de choses assez stupides…

Le paradoxe

Donc il y a un peu ce paradoxe : d’une part on a développé des prouesses au niveau technologique qui sont phénoménales; par exemple, si on parle d’Internet et qu’on se projette 50 ans en arrière et que si quelqu’un vous expliquait, en 1960, qu’en 2010 on vivrait de telle manière, qu’on pourrait communiquer à distance très facilement et de manière instantané via quelque chose qui s’appelle Internet et qu’on vous explique tout ça en détail… Vous vous diriez que cette personne a une imagination fertile incroyable, mais que ça dépasse l’entendement, c’est de la pure science fiction.

Et pourtant aujourd’hui ça fait partie de notre vie à tous, même quelqu’un qui n’a pas d’adresse email, c’est presque un extraterrestre pour nous. On fonctionne tous avec ça et ça emplit une bonne partie de notre vie.

Sur le plan de la recherche médicale, sur le plan de la médecine, on fait maintenant des vrais prodiges aussi.
Sur le plan technologique, quand on parle simplement de se déplacer d’un endroit à un autre du globe, on peut se retrouver sur la partie opposée du globe en l’espace d’une demi-journée ayant passé une demi-journée à 10km au dessus du sol dans une espèce de tube de fer avec 300 autres personnes, et ça on n’y pense même plus tellement c’est normal.

Mais en réalité, si on s’arrête un peu et qu’on regarde ça : oui, c’est prodigieux.

Donc il y a ce paradoxe qu’à la fois on a été capable de développer de telles technologies et d’ailleurs ça ne fait que commencer, ça va de plus en plus vite et on ne sait pas ce qui nous attend ne serait-ce que dans 10 ans, voire dans 20 ans.
Et dans le même temps, et bien, on peut dire qu’on n’a jamais eu autant de personnes qui sont mal dans leur peau. Je parle d’autant de personnes sur le plan relatif parce que bien entendu nous sommes beaucoup plus d’êtres humains aujourd’hui qu’il y a 50 ans, peut être le double je ne sais pas, faudrait regarder les chiffres.
Mais de manière proportionnelle, on est un ratio de personnes qui sont mal dans leur peau beaucoup plus important qu’il y a 50 ans.

essai cours yoga à Lyon

Les guerres perdurent, il y a toujours énormément d’êtres humains qui souffrent de la faim, la soif, on persiste à tuer…alors je crois que c’est plus de 100 milliards d’animaux qui sont élevés de manière industrielle simplement pour les prétendus besoins alimentaires humains et ça sans que ça nous écorche le moins du monde, ça fait tellement partie de nos habitudes qu’on n’y pense pas, c’est normal, on a comme une espèce de voile extrêmement épais qui est là, qui nous empêche de voir l’évidence, c’est quelque chose d’absolument inouï… Pendant cela on pratique le yoga  à Lyon, à Paris, dans toutes les grandes villes de France, du monde entier…

Pour dire à quel point notre intelligence peut être masquée sur des choses comme ça aussi, on ne respecte pas la nature, on voit bien aussi que ce sont des faits, on voit les dérèglements que ça provoque, on ne s’occupe plus de nos aînés, pour beaucoup de personnes c’est acquis, quand les parents deviennent vieux, ils sont dans des maisons de retraite, on ne s’en occupe pas et ma foi, on a besoin de faire notre vie comme on dit.

Parallèlement quand on va dans certaines tribus dites sauvages, eux, ils ont un tout autre mode de vie, ils respectent la nature, les animaux, leurs anciens et c’est eux qu’on traite de non-civilisés…

Vous voyez ce paradoxe entre tout ce qu’on est capable de faire et tout ce qu’on est incapable de comprendre, percevoir, voir. C’est vraiment quelque chose d’incroyable.

On ne sait pas faire tout ça, réaliser tout ça, alors qu’on a toutes ces prouesses technologiques.

Alors, l’intelligence, je disais qu’on l’associe souvent au développement intellectuel.

Au delà de l’intellect

Maintenant, il y a une forme d’intelligence qu’on n’est pas habitués à observer. Oui, nous ne sommes pas habitués à observer notre intelligence profonde, celle qui va au-delà de l’intellect, celle qui, justement, est inaccessible dès lors qu’on fonctionne uniquement sur le plan intellectuel, mais qui, pourtant, touche à notre être profond.

L’intelligence cosmique

C’est ce qu’on appelle l’intelligence cosmique. Quand on parle de la philosophie du yoga, on parle de l’intelligence cosmique, cette intelligence cosmique qui anime toute forme de vie, qui anime ces plantes qui se développent, ces graines qui se transforment en plantes, parfois en arbres, en toutes sortes de végétation et cette végétation qui se transforme simplement au contact des éléments, de la terre, de l’air, de l’eau, de l’espace, des rayons du soleil, de la lumière, sans avoir besoin de quoi que ce soit d’autre : ça, on ne l’observe pas.
Ça fait partie de notre environnement, c’est comme si c’était quelque chose d’acquis et on est peu en lien avec ça, on observe peu ça, et si on observe peu ça, on observe encore moins cette intelligence cosmique qui se manifeste aussi à travers le fonctionnement de ce corps humain, parce que nos organes fonctionnent aussi grâce à cette intelligence cosmique et on n’a pas besoin d’y penser pour que ça fonctionne.

essai cours yoga à Lyon

Par contre, justement, dès qu’on pense un peu trop et dès qu’on est trop limités dans notre intellect et que ça suscite des désordres particuliers au niveau émotionnel, comme par hasard, ça vient perturber le fonctionnement de nos organes, parfois de certains de nos organes, et ça développe des pathologies graves justement parce qu’on n’est plus en union avec la vie, on vit dans une séparation.

Surtout, on n’est pas dans cette conscience, justement, de cette vie qui s’exprime à travers cette intelligence cosmique. Elle est vraiment incroyable, elle pénètre tout, et si on devait réunir toutes les connaissances, absolument toutes les connaissances possibles de tous les savants qui ont pu exister et qui existent et qui existeront sur le plan humain, si on rassemblait toutes ces connaissances sur le plan intellectuel et qu’on puisse comparer ça à l’intelligence cosmique, mais ce serait… vous voyez j’ai du mal à trouver le terme, j’allais dire insignifiant, mais c’est tellement ridicule que c’est même pas ça, le mot n’existe pas, ce n’est rien du tout.

Ce qui nous reste à apprendre, quoi que l’on pense connaître, c’est tout simplement infini, on ne sait rien, absolument rien, d’ailleurs on pourrait comparer ça aussi, tout simplement avec la planète Terre. Par rapport à l’univers, c’est quoi la planète Terre ? C’est même pas un grain de sable dans le désert, c’est insignifiant, impossible à voir, c’est rien du tout ! Nous on vit sur ce plan là, on croit qu’on a tout compris, qu’on connaît tout, qu’on a un avis sur tout, parfois définitif, c’est absolument stupide !

Comment développer l’intelligence profonde?

Donc si on veut avoir accès à cette intelligence qui est tellement plus vaste, on a besoin de déjà apprendre à regarder ce qu’il se passe autour de nous, à regarder comment s’exprime la vie et à faire ce travail qui nous amène à nous unir à la vie, pour passer de cette intelligence toute relative à cette intelligence profonde qui est l’intelligence essentielle puisque c’est elle qui nous anime comme par ailleurs elle anime toute forme de vie.

C’était juste pour vous donner une petite piste de réflexion là-dessus, ça, bien sûr, on l’aborde largement pendant les formations de professeur de yoga, la formation « 2 mois pour une vie nouvelle », c’est passionnant. Moi-même je me rends compte que je suis complètement démuni et que j’ai beaucoup de choses à vous apprendre parce que tout ce que je vous transmets ici, bien sûr c’est une partie de mon expérience profonde, mais c’est aussi beaucoup quelque chose que je vous retransmets comme ça avec des mots, tout simplement.
Tant que c’est ça, c’est rien du tout. Ce qui est très important, c’est d’avoir accès à l’expérience.

L’écoute

On dit d’ailleurs dans l’enseignement qu’il y a 3 choses qui sont très importantes pour pouvoir évoluer personnellement et sur un plan profond, pas forcément sur un plan mondain mais sur un plan profond, eh bien on doit pratiquer de l’écoute, recevoir des enseignements comme vous êtes en train de recevoir ici et plus particulièrement quand on peut recevoir ces enseignements de manière directe, de manière physique, c’est-à-dire quand vous avez un enseignement qui vous est donnés, quelqu’un qui est en face de vous, il y a comme un souffle qui est envoyé, qui vous pénètre, c’est ce qu’on appelle la bénédiction.

La réflexion

Il faut pratiquer cette écoute et sur la base de ces enseignements reçus et cette écoute pratiquée, il faut développer notre réflexion de manière analytique en étant concentré sur des sujets particuliers sans être dans un état où justement le mental est complètement fragmenté et il part à droite, à gauche, il peut être sollicité de manière totalement anarchique, avoir la capacité à maitriser ce cheval fou et à en faire un outil plutôt que l’outil se retourne contre nous, puisque c’est une arme qu’on retourne contre soi bien souvent le mental.

Essai cours yoga Lyon

L’expérience

Donc développer sa réflexion pour nous amener à développer une vraie forme de discernement et on dit que, de manière ultime, on ne parle même plus de discernement mais de discrimination, ce qui nous permet, à ce moment là, de vraiment distinguer ce qui est réel de ce qui ne l’est pas, pour se rendre compte qu’au final, toutes les choses qu’on tient pour réelles ne le sont pas vraiment. C’est un stade vraiment développé, pour développer cette discrimination il faut avoir beaucoup travaillé sur soi, avoir développé justement, c’est le 3e point, beaucoup d’expérience, parce qu’au-delà de l’écoute et de la réflexion, eh bien il faut pratiquer l’expérience et justement aller au-delà de l’intellect et aller laisser tomber tout ce qu’on pense connaitre, avoir un regard neuf sur toute chose, sans discourir intérieurement, et ça, c’est développer l’expérience.

Il faut donc développer l’écoute, la réflexion puisque les deux sont indispensables et aussi et surtout l’expérience. On pourrait dire que l’expérience est la pratique méditative pour faire simple.

Je vous encourage à rejoindre le prochain groupe « 2 mois pour une vie nouvelle » pour développer un peu cet aspect expérience avec aussi toute cette dimension écoute et réflexion.

Conclusion

Voilà, que vous dire ? Quand on veut parler d’expérience c’est très difficile d’en parler plus que ça, on compare souvent, on donne cette métaphore, on dit imaginons que vous expliquiez à quelqu’un qui n’a jamais mangé du chocolat quel est le goût du chocolat. Quelle que soit votre habileté à utiliser les mots, qui que vous soyez, rien ne pourra remplacer l’expérience, la personne, c’est seulement au moment où elle va mettre le carré de chocolat dans sa bouche qu’elle va pouvoir dire « ah oui c’est ça ».

Là, c’est pareil, pour aller à la découverte de soi même, il faut entamer ce chemin intérieur. Et je suis là pour vous accompagner, au moins jusqu’où je peux, avec le peu d’expérience que j’ai de mon côté, déjà c’est intéressant, on peut faire un chemin ensemble.

Ecoutez, je vous dis à bientôt pour une prochaine vidéo, qui ira peut être un peu moins loin parce que là on est partis dans des choses…

Si vous avez aimé, cliquez sur J’aime et abonnez-vous si ce n’est pas encore fait !

A bientôt mes amis, au revoir !

Yoga à Lyon: “doutes et certitudes”

Pour retrouver les vidéos les plus récentes, abonnez-vous dès maintenant à la  Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

Doutes et certitudes

Bonjour mes amis, ici François, expert de méditation et de yoga à Lyon

Je voulais partager avec vous une réflexion sur ce qui touche aux doutes et aux certitudes auxquelles on se trouve tous touchés mais d’une manière un peu différente suivant qui l’on est..; Comme je l’explique souvent à mes élèves de yoga à Lyon, c’est bien beau de venir faire son cours de yoga mais cela ne suffit pas si vraiment on veut apprendre sur soi-même, nous avons beaucoup de choses qu’il convient d’observer pour comprendre comment nous fonctionnons… c’est aussi le propos de la méditation au passage…

Les différentes situations

Effectivement, il y a différentes situations et je voulais vous aider à vous situer par rapport à ça pour que vous sachiez où vous êtes vous, dans quelle situation vous êtes, et si finalement vous êtes dans le bon cadre par rapport aux doutes ou aux certitudes. Effectivement, il y a différentes proportions entre doutes et certitudes, alors j’ai symbolisé ça avec plusieurs carrés.

Premier carré

  • Un premier carré, qui serait la 1ère catégorie, ce carré je l’ai rempli de couleur sombre qui symbolise le fait qu’on est dans une situation ici où on est empli de doutes. Symboliquement, c’est 100%, mais peu importe que ce soit 90 ou 100%, on est empli de doutes et ça nous empêche de faire quoi que ce soit. Bien souvent, quand on est dans cette situation là, on n’est pas bien dans sa peau voir on est en totale déprime, on n’a confiance en rien, ni en soi même et quand on n’a pas confiance en soi même on n’a pas confiance en les autres, on n’a pas confiance en notre environnement, pas confiance en notre société, pas confiance en quoi que ce soit. Evidemment, ça, c’est pas une situation rêvée. Mais elle existe. Si vous n’êtes pas dans ce carré là, c’est déjà un moindre mal.

Deuxième carré

  • Après, il y a possibilité de se trouver dans ce carré, ce 2e carré, cette 2e catégorie, où là, vous avez 3/4 de doutes et 1/4 de certitude, c’est-à-dire que les doutes l’emportent globalement sur vos certitudes et ça, ça vous empêche vraiment d’avancer. Des doutes, on en a tous, mais là c’est dans une grande proportion, 2/3 1/3, 3/4 1/4, en tout cas, les doutes sont prépondérants. Et ça, même si de temps en temps il y a un coup de mieux, ça reste minoritaire, on n’avance pas. Est-ce que vous êtes vous dans cette situation ? Là il est urgent de vous occuper de vous et peut être de commencer par venir participer à nos cours de yoga dans la quartier de la Part Dieu et si vous n’habitez pas à Lyon essayez de trouver un professeur de yoga près de chez vous… Mais bon, si vous n’êtes pas dans le cas de figure décrit ci-dessus, vous vous trouvez peut être dans cette situation, ce 3e cas de figure, ici.

Troisième carré

  • 3e carré, où ici, c’est du 50/50, c’est-à-dire un jour je suis dans un état de doute, un autre je suis dans un état de certitude. Un jour je suis en capacité de mobiliser mon énergie pour avancer dans ma vie et concrétiser ce que je veux concrétiser, mes objectifs, aspirations, etc. Et un autre jour, je suis plombé, et même si je le voulais, je me trouve dans l’incapacité d’avancer et de faire quoi que ce soit. Donc c’est un peu cette situation où je fais un pas en avant et le lendemain je fais un pas en arrière. Quand je fais le bilan je suis toujours au même endroit, ça n’avance pas. C’est imagé, mais c’est comme ça que ça se passe concrètement. Quand on est comme ça, on fait aussi le bilan entre là où on en est aujourd’hui, là où on en était y a un an, ça n’a pas vraiment bougé. C’est pas le carré idéal. Si vous êtes dans ce carré, prenez en conscience avant qu’on avance un peu plus loin dans la réflexion, parce qu’on a encore 2 carrés à voir.

Quatrième carré

  • Il y a certes, aussi, ce carré là, vous le connaissez peut être aussi ou vous l’avez vu même si ça ne vous concerne pas, vous avez sans doute vu autour de vous des gens où ce carré reste tout blanc. Il n’y a aucun doute, toujours sûr de soi. Quand on est toujours sûr de soi, il y a un écueil, on n’a pas forcément les pieds sur terre parce que ma foi nous sommes des êtres humains, nous sommes remplis de sentiments, d’émotions de toute nature et ça, eh bien c’est normal, si on est constitué de manière équilibrée on doit vivre des émotions et sentiments de toute nature et ça nous sert pour évoluer. Si on n’a rien de tout ça, c’est soit qu’on se coupe de ses émotions, on se raconte une histoire en se disant que tout va bien. Et en réalité, quand on fait le bilan entre aujourd’hui et il y a un an, finalement on se raconte peut être beaucoup de choses, on s’illusionne et finalement rien n’a vraiment avancé. Ou alors, si on se rend compte, on peut vraiment tomber très rapidement dans des désillusions, si on ne s’en rend pas compte et qu’on est tout le temps comme ça, ça peut être pathologique et on ne voit pas la personne avancer dans sa vie. Pourquoi ? Parce que, on pourrait se dire que quand on est rempli de certitudes tout va bien, on fonce et tout marche. Mais, je ne pense pas que ce soit comme ça. Parce qu’une vie humaine, par définition c’est un champ d’expérimentations. Une vie humaine se caractérise par la prédominance des émotions perturbatrices suivantes, que sont le désir et l’attachement. Quand on est soumis au désir et à l’attachement, on a des variations d’humeur, on a parfois des jours sans. Ça peut arriver de temps en temps et ça arrive dans une constitution humaine normale, sinon il y a quelque chose qui ne va pas, c’est obligatoirement comme ça. Et c’est là aussi pour nous permettre de développer notre expérience, parce que parfois c’est grâce aux doutes, aux remises en cause, grâce au fait qu’on va peut être subir des critiques voire des trahisons, j’en parle récemment dans une autre vidéo sur « se libérer du jugement d’autrui pour réussir sa vie », alors c’est un peu en lien, des fois on est soumis aux critiques, soumis à des jugements pas très positifs, soumis à des trahisons, à des comportements qui nous atteignent. On est attaché au fait de se sentir aimé et quand on ne se sent pas aimé ça nous atteint. Et parfois, on a besoin de ça pour dépasser les choses, aller plus loin et aller chercher au fond de soi même, c’est-à-dire ne plus compter sur l’extérieur mais sur notre développement intérieur, notre force intérieure pour avancer. Parfois c’est grâce à ça, je dirais même que c’est tout le temps grâce à ça qu’on va se transcender, c’est à partir des expériences malheureuses, sur cette base qu’on va pouvoir faire fleurir nos qualités, qu’on va se dépasser, aller au-delà, et qu’à partir de là on va décider de devenir un meilleur soi même. Donc on a besoin d’avoir des doutes. Si on n’a pas de doutes, qu’on est empli de certitudes, c’est Krishnamurti, un grand philosophe indien qui disait ça, c’est la fin de l’intelligence, on n’a plus rien à apprendre, tout simplement. Ça n’existe pas, à moins d’avoir atteint l’état de Bouddha. Alors, s’il y en a parmi vous qui m’écoutez qui ont déjà atteint l’état de réalisation spirituelle totale comme Jésus ou Bouddha, faites moi un petit commentaire et dites moi. Mais si ce n’est pas le cas, ça vous concerne.

La situation la meilleure

  • Alors, quel est le bon carré, on va le matérialiser mais vous l’avez déjà deviné je pense… C’est un carré où on aurait, ma foi, un peu de doutes, mais pas trop. C’est-à-dire 1/4, 1/3, ou alors 40%. Mais il y a quand même prépondérance de certitudes.
  • C’est-à-dire que vous êtes déjà construit, vous avez une force, un pouvoir, une capacité à vous reconnecter à vos certitudes. Ça vous l’avez. Quand on est dans ce carré, c’est cette situation. De temps en temps, on a des challenges à relever, on va aller chercher au fond de nous même, on gagne en puissance, en pouvoir d’influer sur notre propre vie. On a ce pouvoir. Le bon carré, pour finir, c’est donc celui-ci…. C’est ce que je voulais vous expliquer aujourd’hui en complément des cours ou des enseignements de méditation et de yoga que vous suivez avec moi à Lyon ou à distance et j’espère que cela vous a aidé ou pour le moins intéressé!

* Une méditation à expérimenter: “Uni au souffle”

Pour retrouver l’ensemble des vidéos les plus récentes, abonnez-vous dès maintenant !

Abonnement immédiat à Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

Uni au souffle

Bonjour mes amis, ici François, professeur de méditation et de yoga à Lyon.

Je vais aborder aujourd’hui avec vous quelque chose qui peut beaucoup vous aider…
C’est toujours pareil, à chaque vidéo que je fais, à une condition, c’est que vous fassiez l’expérience, que vous jouiez le jeu et ne restez pas au stade de vous nourrir intellectuellement de ce que je dis, de mettre en pratique, parce que ça peut vous apporter quelque chose… et avec tout ce que je vous propose en bonus avec ces vidéos , je vous offre vraiment parfois de vraies pépites pour votre bien être et c’est vraiment du bonus en plus des cours de yoga que vous prenez avec moi à Lyon ou ailleurs si vous habitez dans une autre région.

Trouver le calme intérieur

Alors, de quoi je veux parler ? Je veux parler de comment trouver le calme intérieur, comment s’installer dans l’état naturel simplement… relisez bien cette dernière phrase… Cela met simplement le doigt sur quelque chose que l’on met parfois de longues années à comprendre véritablement à savoir que la méditation ne se pratique pas au sens qu’il n’y a rien à faire, simplement s’établir dans sa nature propre… Alors on ne sait pas bien ce que c’est que l’état naturel parce que quand on est dans l’état naturel on n’a besoin de rien, tout est bien, on est simplement à l’aise, détendu, présent dans l’expérience du moment, dans ce qu’il se présente, que l’on puisse expérimenter ça sur n’importe quel plan, que ce soit le plan sensoriel : visuel, gustatif, etc.

Rien à faire

Quand on fait une petite session de méditation, le problème qu’on a souvent, c’est qu’on est toujours dans l’idée qu’il faut faire quelque chose et justement, vous voyez, on parle de faire de la méditation, et dès qu’on pense qu’il y a quelque chose à faire, déjà on crée comme un obstacle. C’est-à-dire, tout de suite on met en route, ce genre de choses : je fais bien ou mal, etc.

On est toujours en train de vouloir élaborer quelque chose de supplémentaire à ce qui est déjà là, simplement…. Pourquoi est-ce comme cela?… tout simplement parce que nous entendons beaucoup trop parler de méditation en terme de; faire sa méditation, faire sa pratique, utiliser telle technique de méditation, la méditation transcendantale, la méditation de pleine conscience, le mindfulness, la méditation vipassana, la méditation ceci, la méditation cela… Laissez tomber tout cela mes amis, vous ne faites que vous encombrer un peu plus le mental… Il n’y a rien à faire, surtout pas quoique ce soit à rajouter!… mais plutôt beaucoup de choses à enlever…

Se détendre

Je dis tout le temps, pour s’installer dans la détente, dans l’état de méditation, il faut simplement se détendre, être parfaitement à l’aise, l’esprit ouvert. Et puis on a un support merveilleux qui est la respiration, on peut s’unir à la respiration comme pour devenir pleinement la respiration et être dans un état indifférencié du souffle, bref ne pas pratiquer quoique ce soit, revoir dans l’état de non séparation, d’union, état de yoga quoi…

Une petite histoire…

Je vais vous raconter une histoire à ce sujet, c’est un ami qui lui-même avait dans ses amis, il comptait un moine vietnamien. Il y a beaucoup de moines qui s’intéressent à la philosophie mais qui, en réalité, ne vivent qu’assez peu, concrètement, l’état méditatif. Il se trouve que ce moine, lui, a intégré ça dans sa vie, il se lève très tôt, à 4h du matin, il mange très peu vers 6h du matin, mange un peu à midi et après il se nourrit à nouveau le lendemain matin, il ne remange pas. Il est toujours très tranquille, il se lève très tôt. Simplement, mon ami, quand il recevait ce moine vietnamien chez lui, il n’était pas vraiment au courant que ce moine se levait aussi tôt.  Bien sûr, il imaginait facilement qu’il pouvait se lever vers 5h30, 6h, 6h30 mais peut être pas aussi tôt que ça. Quand il a hébergé ce moine chez lui, à un moment il entend un peu de bruit, il regarde l’heure, il se dit « tiens c’est 4h, qu’est ce qu’il se passe ? », il se lève, va voir et voit le moine assis dans un coin de la grande pièce, vraiment tranquille. Un peu inquiet, mon ami lui demande « mais..ça va ? que fais-tu ? »
Le moine lui répond en anglais, parce qu’il ne parle pas français : « I enjoy my breathing », c’est-à-dire « je me nourris, j’apprécie pleinement ma respiration » et il reste tranquille, en souriant.  Donc, vous unir à la respiration, vous détendre à un point tel qu’un sourire peut naitre spontanément sur votre visage, et ainsi vous pouvez rayonner simplement, développez cette expérience de ne rien faire, de vous établir dans l’état naturel, dans votre essence, dans l’état de méditation authentique, au delà de telle ou telle pratique, telle ou telle technique… Point, c’est tout, il n’y a rien à faire. Juste relax et être bien présent. Et pour être bien présent, encore une fois, toujours revenir à son souffle. Ça aide énormément. Et on dit que la respiration c’est le lien entre le corps et l’âme. Il n’y a pas de meilleur support de méditation.

La respiration essentielle

D’ailleurs, il y a le titre d’un livre qui s’appelle La respiration essentielle de Thich Nhat Hanh, si vous voulez approfondir tout ça, je vous encourage à lire ce livre, ça vous intéressera certainement beaucoup si vous avez aimé cette vidéo… et ainsi vous pouvez vraiment approfondir le yoga.

Si c’est le cas, je vous invite à cliquer sur J’aime, à vous abonner si ce n’est pas encore fait et je vous dis à bientôt pour une autre vidéo mes amis, au revoir !

Soulager le nerf sciatique.

Pour retrouver les vidéos les plus récentes, abonnez-vous dès maintenant à la  Chaîne YouTube.

Accès IMMEDIAT et GRATUIT à
▼ la méthode de méditation « ICI et MAINTENANT » ▼
======================================
ici: https://yoga-meditation.tv/meditation-bonus
======================================

Soulager le nerf sciatique

Si vous êtes de Lyon rejoignez-nous et commencez par une séance d’essai de yoga!

Bonjour mes amis, ici François, votre expert de méditation et de yoga relaxation à Lyon.

La posture

Je vais vous présenter aujourd’hui une posture de hatha yoga qui se révèle très salutaire pour les gens qui ont des problèmes de sciatique, qui se sentent de temps en temps, vous savez cette douleur qui part le bas du dos, qui court le long de la fesse et qui descend parfois le long de la jambe, certains ont des crises où ça va même jusqu’au pied.

Donc, il y a une posture de yoga vraiment spécifique pour soulager le nerf sciatique, qui s’appelle Virasana, la posture du héros: c’est une variante de Virasana, car cette posture de yoga n’est pas habituellement connue sous cette forme là.

Je conseille assez systématiquement cette posture de yoga à Lyon, là où je me trouve, dès que j’ai un élève qui a une légère irritation du nerf sciatique. Je vais donc vous la montrer et vous allez pouvoir la pratiquer.

Soyez guidé !

Alors, bien entendu, ici, je vous donne une orientation, mais c’est vraiment nécessaire de vous rapprocher de votre professeur de yoga, que ce soit à Lyon où là ou vous résidez, ne serait-ce que pour vous assurez que vous faites vraiment la posture correctement, même si ici je vais vous donner toutes les indications possibles, malheureusement je ne peux pas être de l’autre côté de la caméra, voir ce que vous faites et vous corriger.

Il vous faut un professeur de yoga qui vérifie et valide que vous faites bien la posture. Mais je vais vous la montrer. 

Description

Je vous la montre déjà sous cet angle. Vous pouvez commencer en passant le genou gauche à l’intérieur du genou droit, comme ceci, et ouvrir les jambes comme des ciseaux. Ensuite, doucement, vous asseoir les deux fesses bien à plat sur le sol. Je vais vous montrer face à vous maintenant. Je pars comme ça, et je descends, je pose les deux fesses bien à plat sur le sol. Le défaut parfois, c’est qu’on a une fesse qui est décollée du sol, comme ça. Des fois il suffit simplement d’ouvrir un peu plus la jambe pour permettre à la fesse de se poser au sol.
C’est très important que les deux fesses soient à plat de la même manière sur le sol. Et ici, vous pouvez remarquer que les deux genoux sont vraiment alignés avec l’axe médian, avec le nez. Le nez et les deux genoux sont parfaitement alignés, les deux pieds sont vraiment sur le même axe aussi. Et ici les deux fesses étant bien à plat sur le sol, dressez la colonne vertébrale, croisez les doigts des mains, placez les sous les genoux tout en gardant la colonne vertébrale bien tendue à partir de tout en bas, attirez les genoux vers la poitrine. Détendez vous mentalement, détendez le visage. Et rentrez dans le corps, en particulier ici, là, dans la fesse droite. Si vous avez une irritation du nerf sciatique ici, du côté droit, grâce à cette posture de yoga, vous allez sentir comme un courant frais, qui libère le nerf sciatique, qui soulage le nerf sciatique.

Vous restez ainsi 1mn, 1mn30, 2mn.Ensuite vous relâchez doucement.

Bien entendu, si vous êtes en délicatesse avec le nerf sciatique du côté droit, ne faites pas que le côté droit, il faut faire un travail symétrique c’est important, donc en suite vous faites à gauche. Je prends la posture directement comme ça, ensuite on fait à gauche.

Voilà. Vous pouvez répéter la posture plusieurs fois, c’est possible, deux, trois fois. Mais même si vous ne la faites qu’une fois, vous allez voir que ça va vous soulager si vous êtes concerné par des problèmes d’irritation du nerf sciatique.

Si vous êtes en crise, c’est pas le moment de faire ça. Soit vous allez voir votre médecin et si vous voulez entreprendre de faire des exercices particuliers, rapprochez vous cette fois ci directement de votre professeur de yoga pour qu’il regarde de près ce que vous pouvez faire ou pas.

J’espère que cette vidéo vous a plus, si c’est le cas je vous invite à cliquer sur J’aime, à vous abonner si ce n’est pas encore fait et partagez la vidéo avec vos amis sur les réseaux sociaux.

A bientôt pour une prochaine vidéo, au revoir mes amis !

Et pour retrouver l’intégralité des vidéos abonnez-vous dès maintenant et ici à la  Chaîne YouTube.