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Le jugement

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Bonjour mes amis, ici François, expert de yoga, méditation et autres techniques de bien être.

Aujourd’hui, je voulais vous parler du jugement. Vous savez, on entend souvent parler de ça. Du genre, « oui mais avant, quand tu dis ça, tu es dans le jugement », comme si on pouvait réduire cette notion de jugement à un sens d’accusation, à un sens de condamnation, comme si le jugement ne pouvait prendre que cette forme péjorative.

En réalité, ce n’est pas que ça, il y a d’abord plusieurs sortes de jugement :

  1. le jugement de valeur, qui s’appuie sur des choses subjectives, pas vraiment sur des choses tangibles, et chacun peut penser des choses différentes au sujet de telle personne ou telle situation, en ce sens, on parle de jugement de valeur.

2. Il y a les jugements de faits, par exemple si je dis « mon tshirt est jaune », on est tous d’accord là-dessus sur le fait qu’il est jaune. C’est un fait, mais aussi un jugement.


Si je dis que je suis dans un joli parc, certains diront que c’est super joli, plutôt que de dire « ouais mais y a la barrière derrière c’est moche », et là on rentre dans le jugement de valeur.

Tout ça pour dire qu’on ne peut pas restreindre le jugement à quelque chose qui serait négatif, et bien souvent quand on ne se sent pas à l’aise avec un jugement, on sort de la boite à outils, on dit qu’on est dans le jugement, comme ça on refuse tout en bloc.

En réalité, on peut approfondir les choses, y compris dans les jugements qu’on pense être des jugements de valeur. Parce que parfois il y a des choses qui n’apportent rien à qui que ce soit, que ce soit celui qui exprime le jugement et celui qui reçoit. Parfois, au contraire, il y a des appréciations qui peuvent être constructives pour autant qu’on le prenne comme ça.

Tout à l’heure j’en parlais beaucoup avec Emilie, elle avait une manière d’exprimer les choses, elle avait une manière assez sympa d’exprimer les choses. Est-ce que tu veux développer un peu Emilie ?

E : Quand on parle de jugement, il est nécessaire d’en parler avec beaucoup de clarté. Comme le disais François, on peut parler de jugement, mais aussi de constatation, et ce sont deux choses bien différentes. Une constatation, j’employais le terme tout à l’heure de constatation lucide, c’est établir un fait, comme l’exemple « ce maillot est jaune », sans y ajouter par-dessus une connotation ou une couleur qui pourrait être « je n’aime pas le jaune » ou « ce maillot ne lui va pas ». Souvent, au lieu d’établir de simples constatations avec clarté et lucidité, on va tout de suite rentrer dans le jugement, parce qu’on est emballés par notre état émotionnel, parce qu’on est dans une société où il faut constamment tout faire rentrer dans des cases, qu’il faut constamment juger. Parce qu’autrement, ça n’a pas de sens, pas de compréhension.
C’est complètement erroné. Il y a d’une part cela que l’on peut constater dans la société, au lieu de faire de simples constatations, on rentre très vite dans un jugement. Et puis, il y a aussi un autre aspect, quand on énonce une constatation qui est prise comme un jugement. Et là, c’est très embêtant également parce qu’on n’est pas dans le cadre d’une relation authentique et constructive. On est dans une relation biaisée où il y a forcément un sentiment de malaise qui se crée entre les deux personnes. Donc on peut tout à fait constater quelque chose vis-à-vis de la personne qui en parle, sans que ce soit ni pour lui faire du bien, ni faire du mal, mais simplement une constatation. Il y a problème à partir du moment où la personne en face reçoit la constatation, ce message, et y ajoute une couleur affective, psychologique. Et ici, eh bien on se retrouve très vite dans une impasse, il n’y a pas de véritable relation. Tout ceci, c’est dommage, ça amène très fréquemment à des conflits, des mésententes, des incompréhensions et même des non-dits car des personnes, à force de vivre dans ce schéma de jugement, en viennent à ne plus dire ce qu’elles peuvent ressentir. C’est vraiment dommage.

F : On fait une censure à ce moment et ça ne permet plus à la personne d’avoir cette liberté de s’exprimer. Est-ce que, à tout hasard, il te viendrait un exemple où c’est comme ça, comme tu viens de le décrire, et donner un contre exemple pour dire comment on pourrait s’y prendre à la place ?

E: Oui, on va parler par exemple d’un cours de yoga, ça pourrait être une bonne situation. On prend tous une posture et l’enseignant parle aux élèves pour voir comment ils peuvent plus cheminer dans la posture. Quand on parle d’entrée d’une posture, je voudrais préciser qu’on ne cherche pas à arriver à une posture carte postale, mais l’important c’est de comment on chemine dans la posture. L’enseignant de yoga, il y a normalement cette lucidité et cette tranquillité où il est à même de dire à cet élève en face, là tu pourrais aller un peu plus loin, tendre un peu plus ta jambe, essaie d’ouvrir un peu plus ton épaule, voilà. La personne en face, il y a 2 possibilités, soit peut se crisper, parce qu’elle l’entend comme un jugement, ça peut être que dans sa tête elle se fait un film…

F : Un jugement perçu négativement donc.

E : Oui. Ce peut être « je suis vraiment nul, j’y arriverai pas, je fais pas comme les autres ». Forcément on se juge en se comparant aux autres personnes. Donc elle se crispe et ici l’enseignant ne peut pas avoir de relation constructive avec son élève, alors que dans une situation plus sereine, l’enseignant va dire « tu pourrais tendre davantage ta jambe, ouvrir plus, regarde ce que ça fait ». L’autre va simplement prendre ce constat comme tel et rien n’y rajouter et rentrer plus tranquillement dans la posture. Ici il n’y a pas d’entrave, d’obstacle dans la relation. On parlait ici d’un jugement négatif mais ça peut aussi être un jugement positif mais qui n’en est pas vraiment un. C’est-à-dire un élève à qui on dirait « ta posture est très bien ». Et l’autre du coup se gonfle d’égo, et une fois qu’on a l’égo bien gonflé, on est arrivé au top, et on n’avance plus. C’est dommage, parce que dans la pratique d’une posture on peut toujours aller plus loin, il n’y a jamais de finalité.

F : Oui, oui.

E : Un jugement, finalement, on y attribue une couleur positive ou négative, mais en fin de compte, dans l’absolu, il n’y a pas de positif ou négatif, c’est un jugement qui est connoté par des résidus psychologiques.

F : Oui. Bon, écoute, je te remercie au nom de tout le monde, très bon développement, moi j’ai beaucoup aimé en tout cas, et je pense que la manière dont tu as expliqué les choses c’est compréhensible de tout le monde. C’est quand même une vidéo qui mérite d’être écoutée plusieurs fois parce qu’à chaque fois vous allez avoir des éclairages, des choses que vous avez pas tout à fait appréhendé tout de suite comme ça parce que c’était très riche. C’est essentiel, vous avez eu des clés pour l’attitude à avoir pendant les cours de yoga pour aller au-delà de cette notion de jugement, ce sentiment de comparaison, compétition, pour aller tout ça et s’établir, prendre l’habitude de s’établir dans un rapport simple avec son enseignant et après transférer tout ça dans sa vie quotidienne et avec ses rapports aux autres aussi.

* Stage en Inde: témoignage de Maryline

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Le prochain  séjour en Inde sera un stage de bien être d’environ 10 jours qui se déroulera à Pondichéry au mois d’Août 2016: Si vous êtes intéressé(e), envoyez un message avec vos coordonnées:

Je souhaite avoir des informations sur le prochain stage de Yoga en Inde avec Yogesh.

 

Bonjour mes amis, François à nouveau, expert de yoga, méditation et autres techniques de bien être. J’ai beaucoup de monde ce soir à cette soirée resto, j’en profite un peu parce que j’ai toutes sortes de personnes intéressantes ici et en particulier ici il y a Maryline

Maryline : Bonsoir tout le monde !

François : Maryline a fait plusieurs années de cours de hatha yoga en ma compagnie à Lyon dans notre centre de la part dieu et ce qu’il y a de particulier surtout c’est qu’elle a participé à un stage de yoga en Inde avec moi à Pondichéry il y a 4 ou 5 ans. Alors, je voulais que tu partages un peu ton expérience Maryline, et que tu expliques aux gens qui t’écoutent ici, ce qui t’avait amenée à décider à participer à cette aventure et à faire ces 10 jours de Yoga en Inde à Pondichéry avec nous. Qu’est ce qui t’as amenée à prendre cette décision de partir ?

Maryline : Alors moi je suis partie à Pondichéry avec François, c’était mon premier grand voyage pour aller en Inde. Donc j’ai profité de connaître François avec le yoga pour partir parce que je ne me sentais pas de partir seule, j’ai toujours voulu faire un voyage dans un pays tel que l’Inde chargé d’histoire et de spiritualité, mais seule, je n’ai jamais franchi le pas. Donc pour moi c’était une opportunité grandiose. Je n’ai absolument pas regretté, je pense qu’à repartir, donc dès que je peux je repartirai en Inde, c’est sûr. Ça m’a apporté beaucoup de choses, j’ai rencontré des gens formidables. J’ai rencontré, beaucoup de joie, et y compris chez les personnes modestes beaucoup d’espoir, et c’est vrai que je garde ça. Il y a tellement de choses à dire, c’est pas facile… Mais c’est un voyage formidable, je suis revenue avec… Je relativise pas mal de choses dans ma vie, du coup j’ai un regard différent, j’apprends d’ailleurs à être plus proche des gens, à prendre plus le temps d’être avec les gens, parce qu’on va tellement vite dans la vie de tous les jours que quelques fois on s’éloigne des gens, on ne les voit plus… Et ça, pour moi, ça a vraiment changé du tout au tout, et j’essaie vraiment d’être présente et quand je peux d’être avec les gens à 100%, peut être pas autant que l’on pourrait l’être… Mais j’ai un regard différent sur la société d’aujourd’hui, une philosophie de vie très différente même si la routine du quotidien reste la même, comme tout le monde, mais moi je vois les choses différemment, c’est clair… Là on est dans le concret on est pas dans des petites constructions personnelles illusoires du genre  “oui moi je pratique la méditation transcendantale, la méditation sur les chakras, sur la kundalini shakti ‘; ici on est loin de tout ce qui parfois ressemble à des petits délires d’enfants gâtés qui ont tout et se plaignent toujours… Pendant ce stage de Yoga en Inde, nous avons suivi François notre professeur de Yoga et de relaxation, il nous a emmené au contact de la population, y compris les gens les plus défavorisés et là je peux vous dire que l’on est face à la vie, on comprend beaucoup de choses, beaucoup plus qu’à travers des petits délires mystiques qui me permettent de penser que parce que je fais deux ou trois mouvements, je suis devenu une yogini ou un yogi… cela c’est le yoga bourgeois comme dit François…

François : Vous voyez, moi ce que je ressens, je trouve que c’est très très fort tout ce que tu peux dire, on sent que t’as beaucoup à dire, ça déborderait même un peu.Tout ça pour dire que cette expérience, eh bien elle doit se vivre. On ne peut pas vraiment expliquer de manière exhaustive tout ce qu’on a pu retirer d’un tel voyage. C’est vraiment une expérience qu’il faut faire, tout simplement, c’est très difficile d’en parler. C’est un peu ça non ?

Maryline : Oui, je pense qu’il faut vraiment y aller. Parce qu’en parler, bon, on peut s’imaginer plein de choses. Mais quand on est sur place, c’est autre chose. Il faut y aller, découvrir, et on ressent tellement de choses que… C’est en y allant qu’on voit tout ça, tout ce que ça peut apporter… Et le gros plus c’est que tu sois là avec nous car tu connais très bien la culture Indienne, à tes côtés nous en profitons beaucoup plus et nous constatons également que tu es reconnu comme un Mâitre authentique du Yoga dans la berceau même du Yoga: l’Inde!

François : Alors bon, finalement quand tu dis ça, qu’est ce que tu dirais à quelqu’un qui hésiterait un peu…

Maryline : Je dirais que… s’il a vraiment au fond de lui envie d’y aller, qu’il a des doutes, des craintes, parce que c’est loin, un pays étranger, avec peut être des gens qu’il ne connaît pas, je pense que c’est une très bonne expérience et je conseille d’y aller. Il n’y a pas à hésiter, s’il peut le faire, je pense qu’il faut vraiment le faire. C’est quelque chose de formidable, on n’en ressort pas comme avant. Il y a l’avant et l’après.

François : Alors bien entendu, je suis là, je vous accompagne, pour le prochain séjour en août 2016, je serai aussi là à Pondichéry. J’ai fait 10 séjours en Inde et j’ai passé plus d’un an de ma vie en Inde, donc je suis effectivement très bien imprégné de l’ambiance, de la culture. Les gens se sentent en sécurité, donc vous avez vraiment aucun obstacle de ce côté-là, vous pouvez y aller tranquillement. Les séjours se passent soit à Varanasi, principale ville Sainte Hindoue, soit à Pondichéry… En tout cas je suis vraiment ravi que t’aies pu partager ton expérience. Au nom de tout le monde je te remercie.

Maryline : Merci à toi François.

François : Parce que ça a peut être aussi suscité un déclic chez quelqu’un.

Maryline : J’espère, c’est vrai, en plus on est en groupe, y a pas de craintes, on est sécurisés, François est là, on n’est pas lâchés dans la nature dans ce grand pays qu’est l’Inde où nous n’avons pas toujours nos repères… Tout est uni pour faire un bon voyage. C’est important, parce que parfois on ne peut pas franchir le pas seul. Il faut aussi saisir l’opportunité, si on peut, il faut le faire. Je me répète mais…allez-y !

François : Merci beaucoup Maryline, merci, vraiment. Si vous avez aimé cette vidéo, vous pouvez cliquer sur J’aime et vous abonner si ce n’est pas encore fait. Laissez un commentaire, posez des questions, parce que je comprends tout à fait que par rapport à un tel sujet, organiser un tel séjour en ma compagnie ou pas, vous pouviez avoir des questions ou des doutes donc n’hésitez pas, laissez vos questions en commentaire j’y répondrai volontiers. Ce voyage va se préparer longtemps à l’avance, parce que le mois d’août c’est un peu particulier quand on veut aller à Pondichéry, il faut s’y prendre à l’avance, il y a de gros mouvements de population dans ce coin surtout autour du 15 août, il faut vraiment le préparer à l’avance, ce sera important que les gens qui veulent aller là-bas me le disent longtemps à l’avance. Commencez à y penser si ça germe en vous. Voilà, écoutez, à bientôt pour une nouvelle vidéo, merci encore de votre présence à mes côtés, au revoir !

Maryline : Au revoir.

* Sri Aurobindo et l’indépendance de l’Inde

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Bonjour chers amis, ici François professeur de yoga et expert de méditation et autres techniques de bien être. Aujourd’hui c’est le 15 août, et le 15 août c’est spécial parce que c’est l’anniversaire de l’indépendance de l’Inde, c’était el 15 août 1947, donc 68 ans. L’Inde était sous colonisation britannique pendant environ 2 siècles, et au milieu du XXe siècle, on avait promis à l’Inde, en échange d’une coopération à l’effort de guerre, qu’on pourrait lui donner son indépendance et, de manière connexe, comme on le sait tous, le mahatma Gandhi a eu une influence prépondérante pour ça. Il a beaucoup œuvré par le principe de la non-violence, qui est le premier principe du yoga, ce qu’on appelle l’ahimsa. Et ce principe qui était celui de la désobéissance civile, et à cette époque, quand l’Inde a obtenu son indépendance, il y a une division entre l’Inde et le Pakistan. Et au niveau du Pakistan, s’est retrouvée essentiellement concentrée la population musulmane dont celle qui vivait dans l’Inde d’aujourd’hui. Et au contraire, tous les gens qui étaient plus de confession hindoue et qui étaient dans cette zone qui est aujourd’hui le Pakistan… Il y a eu des mouvements de population qui se sont croisées, ça n’a pas été très facile, mais voilà un peu l’histoire, en quelques mots, mais je ne suis pas un spécialiste. Le 15 août, j’ai remarqué aussi il y a quelques temps, que c’était aussi une autre date anniversaire, c’est l’anniversaire de la naissance de Sri Aurobindo, c’est l’un des plus grands saints de l’Inde du XXe siècle, voire même de l’Humanité du XXe siècle. Il était né le 15 août 1872, il a quitté ce corps de l’époque en 1950. C’est intéressant parce qu’il a vécu l’indépendance de l’Inde, c’était 3 ans avant sa mort. Il a beaucoup participé à l’indépendance de l’Inde d’une certaine manière. Il était connu pour son enseignement qui est le yoga intégral, qui est un peu une synthèse des voies traditionnelles qui mènent au yoga : le karma yoga, le bhakti yoga, le jnana yoga, le raja yoga ; et donc, son travail était spécifique en ce sens que son enseignement se basait sur un travail sur les différentes composantes de l’être, c’est-à- dire les composantes physiques, émotionnelles, la composante mentale. De telle sorte que l’on s’ouvre à la conscience divine à partir d’en haut, comme pour la faire couler à partir d’en haut, là où elle se trouve et la faire descendre en nous. Alors que, traditionnellement, dans les voies qui mènent au yoga, on parle plus de réveiller l’énergie divine à partir de tout en bas, on situe ça à la base de la colonne vertébrale, là où se trouverait la kundalini shakti pour la réveiller, la faire remonter selon un trajet qui longe à peu près la colonne vertébrale, pour la faire s’ouvrir complètement au sommet du crâne. Sri Aurobindo, il faut savoir que je le lie à l’indépendance de l’Inde parce qu’il y a cette date, le 15 août, c’était également sa date de naissance. Mais il faut savoir que dès le début du XXe siècle, je crois vers 1905, Aurobindo était très engagé dans plein d’actions, dans une lutte, un combat politique, et même en 1906, c’était le premier à demander publiquement l’indépendance de l’Inde. Après, il était tellement vindicatif qu’il a fini par être emprisonné pendant plus d’un an et c’est là qu’il a pu avoir ses premières expériences de réalisation spirituelles très importantes. C’est absolument passionnant, l’enseignement que nous a laissé Sri Aurobindo est son histoire. Et si vous voulez en savoir un peu plus, vous pouvez trouver facilement des livres. Ce qui est intéressant, c’est qu’on avait un être très avancé spirituellement, qui était l’un des principaux disciples de Sri Aurobindo, c’était un français, il s’appelait Satprem. Ça peut être intéressant si vous voulez aller plus loin, si le cœur vous en dit, de lire Sri Aurobindo, ou l’Aventure de la conscience, c’est Satprem qui l’a écrit. Je vous le mets dans la description de la vidéo. Aujourd’hui, je voulais vous parler du 15 août et avoir quelque chose d’intéressant à vous dire à ce sujet-là. J’espère que ça vous a plu, si c’est le cas cliquez sur J’aime et abonnez vous si c’est pas fait, et laissez un commentaire, pour me dire si ça vous a plu ou non par exemple.Je vous retrouve demain pour une prochaine vidéo, au revoir mes amis !