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La valeur des vœux de nouvelle année

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La valeur des vœux de nouvelle année

Bonjour chers amis, François, expert de yoga et méditation.

Un petit message pour la nouvelle année aujourd’hui, même si vous allez le comprendre à travers ce que je vais partager avec vous aujourd’hui, les vœux de nouvelle année c’est absolument pas du tout mon truc, donc c’est plutôt une difficulté pour moi de savoir ce que je vais dire et savoir comment je vais rendre ça intéressant, ou utile.

Chaque année je planche un peu, je couche des mots sur un papier, j’essaie de formuler quelque chose qui puisse capter votre attention et qui puisse nous aider à avancer tous ensemble ma foi, dans une direction qui soit juste et qui nous permette de donner un vrai sens à notre existence humaine.

Je vais suivre un peu ce que j’ai écrit sur papier et que je vous enverrai par email, mais là je vais plus le commenter.

La tradition

Parce que c’est une tradition ces vœux de nouvelle année.

Elle veut qu’on adresse nos vœux de bonheur, de paix, de joie, d’abondance, etc, aux membres de notre famille,  nos amis, et parfois même à des gens envers qui on estime avoir un intérêt à le faire, donc c’est pas désintéressé parfois. Et puis bon, globalement on pense à certaines personnes d’une manière ou d’une autre, et on ne pense pas à d’autres personnes.

D’un autre côté on est rempli de bonnes intentions, on émet des souhaits au début de l’année et très rapidement ça s’enfuit et on perd un peu nos bonnes dispositions comme ça, on retourne à nos habitudes comportementales qui ne sont pas toujours très bonnes, qui pourraient être meilleures parfois.

Reste que puisque ça frappe l’imagination, ce concept de nouvelle année, on peut déjà en profiter pour s’arrêter un peu, réfléchir et prendre conscience que déjà la nouvelle année c’est que quelque chose de conceptuel, ça n’existe pas vraiment en réalité, parce qu’il y a vraiment rien qui ait cessé ou commencé, tout simplement, on s’inscrit dans une continuité, on pourrait bien dire du jour au lendemain que la nouvelle année serait le premier mars, ça changerait quoi ?

On peut prendre conscience aussi pendant ce temps là que si on adresse des souhaits à certaines personnes, si soi même on est attaché à recevoir des souhaits de bonheur pour cette nouvelle année, on peut en profiter pour réaliser que finalement, tout être sensible, quel qu’il soit, aspire au bonheur et qu’en cela, on est tous semblables, on est tous un, que les animaux au passage, eux aussi ce sont des êtres dotés de sensibilité et ça aussi, ça nous arrange pas forcément, c’est pas toujours facile à accepter mais on doit le prendre en considération.

On doit prendre un moment pour réfléchir et réaliser que c’est sous l’emprise de la peur qu’on a des bonnes intentions d’une part pour certaines personnes et d’autres pensées moins bonnes pour d’autres personnes. C’est toujours sous l’emprise de la peur qu’on vit sans arrêt ballotés entre des sentiments d’attraction ou de répulsion et que c’est finalement ainsi qu’on crée de la division, de l’adversité, de la haine, et au final parfois de la violence qui s’exprime de manière plus ou moins évidente ou intense.

Victime ou responsable?

A ce sujet on ne mesure pas toujours la responsabilité que l’on porte vis-à-vis de situations où on estime simplement qu’on est victime et rien d’autre.

Non, on porte une responsabilité par rapport à ces situations là. On peut réfléchir un instant et se dire que finalement la violence qui a un moment a pu être subie par une centaine de français, est-ce qu’elle mérite tellement plus de considération que celle qui a été exercée ces dernières années sur des millions de congolais ? Est-ce que cette violence qui a été subie par une centaine de français mérite plus de considération que celle qui est imposée dans des conditions cruelles à plus de 700 milliards d’animaux par an qui sont élevés de manière industrielle pour les prétendus besoins en alimentation humaine ?

Une vision juste

Est-ce que finalement on a vraiment une vision juste des choses ?

Pourquoi est-ce qu’à partir d’aujourd’hui, même si c’est qu’un concept la nouvelle année, ça peut devenir quelque chose d’utile si à partir d’aujourd’hui, on fait de ce concept quelque chose de concret, on en profite pour prendre de vraies décisions, de décider une fois pour toute de devenir responsable, sentir responsable face à tout ce qui peut arriver et d’entamer vraiment une vraie révolution intérieure.

Je crois que c’était Gandhi qui disait ça, cette citation qui était citée mainte fois par quelqu’un qui s’appelle David Laroche, ce serait Gandhi qui aurait dit que si on veut changer le monde il faut commencer par se changer soi même.

L’honnêteté

On peut prendre des décisions pour entamer cette révolution intérieure. On peut le faire en se nourrissant des enseignements issus des grandes sagesses puisqu’on habite dans un pays où ça nous est accessible, on peut prendre le temps avec ça de développer une vraie réflexion sur la vie, sur nous même aussi. Une vraie réflexion personnelle pour s’observer attentivement avec une totale honnêteté, sans faire d’obstruction, parce que parfois il y a des choses qu’on peut voir qui ne sont pas vraiment agréables ou qu’on n’a pas envie de voir, d’accepter, donc on se crée une réalité qui nous arrange.

Donc s’observer avec une totale honnêteté.

Pour reconnaitre effectivement nos imperfections mais aussi les qualités fondamentales qui sont en nous, profondément, et qui ne demandent qu’à être actualisées. Et pour ce qui concerne les imperfections, eh bien prendre le temps d’être dos avec soi même, être en conscience de ses imperfections, les bercer, en prendre soin, et les soigner pour pouvoir les transformer en quelque chose qui va devenir de l’ordre de la perfection.

La non séparation

Avec tout ça, prendre aussi le temps d’observer un peu de temps en temps de manière complètement nue les choses, au-delà des concepts de séparation.

Justement pour expérimenter un peu ce sentiment d’union. C’est ça le yoga, c’est l’union. De l’union avec tout ce qui peut s’exprimer, tout ce qui compose la vie, toute forme d’existence, la nature.

Aussi, on peut faire tout ça en acceptant avec humilité l’aide qui nous est donnée par nos ainés, par ceux qui ont plus d’expérience que nous parce qu’on en a besoin, on ne peut pas faire sans. Sinon il y a beaucoup d’erreurs possibles, qu’on peut faire involontairement, certes, mais qu’on peut faire et qui peuvent nous emmener dans des directions qui sont erronées, tout simplement. Ça va pas produire des fruits positifs pour qui que ce soit, ni soi même, ni pour les autres.

Pourquoi faire tout ça ? Pour qu’on puisse vraiment considérer à part égale le droit au bonheur pout tout être sensible, quel qu’il soit, peu importe sa condition, que ce soit un humain, un animal, qu’on ait telle ou telle nationalité, sans distinction, de quel que sorte que ce soit.
Et aussi pour comprendre que celles et ceux qui ont commis les erreurs les plus sérieuses, celles qui peuvent nous sembler les plus impardonnables, ces erreurs, ils les commettent sous l’emprise de l’ignorance fondamentale et quand on est dans cet état, on est dans une souffrance intérieure très intense.

Même si c’est difficile à comprendre de prime abord, c’est comme ça !

Et si on veut se réformer soi même pour réformer le monde, on a aussi besoin de développer cet aspect, la compassion, et souhaiter que tous les êtres, quels qu’ils soient, puissent être libérés de la souffrance.

Etre comme le soleil

Pour qu’ainsi, un jour, on puisse soi même vraiment devenir un meilleur être humain, jour après jour, et qu’on puisse être…vous savez, j’ai fait une vidéo, c’était la 100e vidéo, ça doit faire un mois et demi à peu près : être comme le soleil, on voyait ces yogis au bord du Gange à Varanasi. Il y avait un yogi qui expliquait ça. C’est-à-dire voir toutes et tous de la même façon, sans aucune condition. Être un ami pour le monde entier. Sans exception. Pour tous les êtres qui emplissent l’espace.

Et puis rayonner comme le soleil. De chaleur, de lumière, pour devenir aussi une source d’inspiration et contribuer ainsi à plus d’amour déversé de manière inconditionnelle pour contribuer à plus de paix, à construire cette paix universelle et rétablir cette paix originelle en quelques sortes.

Et avec tout ça, si on fait tout ça, on donne un vrai sens à son existence humaine.

Servez, donnez, aimez, méditez, réalisez…

Il y avait un grand saint indien, un grand maître de yoga, une lignée à laquelle j’appartiens de manière extrêmement courte, entre ce grand saint et moi-même il y a juste deux personnes donc c’est une lignée où on s’est transmis les enseignements de manière directe, de génération en génération. C’est Swami Sivananda qui disait « Serve, give, love, meditate, realize ». C’est-à-dire « servez, donnez, aimez, méditez et réalisez ».

Ce chemin, je vous propose qu’on le fasse ensemble à travers tout ce que je propose.
Là, en cours, il y a un cycle « 2 mois pour une vie nouvelle », un autre va démarrer certainement en mars-avril dans d’autres conditions que ce que j’ai pu faire jusqu’à maintenant.

Je vais bientôt vous parler aussi du séjour en Inde que l’on va faire en août, et là pour ceux qui veulent vraiment profiter des vacances et rendre ces vacances vraiment utiles et enclencher un processus de transformation intérieure, je vous réserve un programme que j’ai encore jamais délivré, mais…voilà, si vous avez fait « 2 mois pour une vie nouvelle », en complément ça va être le top du top, et si vous ne l’avez pas fait, vous pourrez le faire ensuite, il n’y a pas d’ordre défini. Mais je vais vraiment délivrer un enseignement que je n’ai jamais délivré jusqu’à maintenant et ça se passera première quinzaine d’août à l’occasion d’un stage de yoga à Pondichéry en Inde.

En tout cas, qu’il en soit ainsi, que ce message puisse vous inspirer et que ça vous permette de vraiment décider d’entamer quelque chose qui puisse contribuer à plus de paix dans le monde. Qu’il en soit ainsi et à bientôt mes amis, au revoir !