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Yoga Lyon – “Mais où est ma moitié?” par François Yogesh

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L’amour que l’on porte à sa moitié

Bonjour mes amis, François, expert de yoga et méditation.

Aujourd’hui j’ai choisi de répondre à une question qui m’a été faite lors d’un commentaire qui faisait suite à une vidéo où on m’a dit « ce serait bien que tu fasses une vidéo sur l’amour que l’on porte à sa moitié ».

Ça me fait un peu rire, oui, vous voyez il y a déjà le concept de l’amour et le concept de la moitié. Est-ce que déjà ça va vraiment ensemble ? Je ne sais pas. Il ne me semble pas…

Amour et/ou attachement

Parce que déjà sur le plan habituel, sur la manière que l’on a la plupart du temps de considérer l’amour, c’est vraiment complètement à relier à des émotions qui nous sont propres nous en tant qu’être humain parce que si on se manifeste sous forme humaine c’est sous l’emprise d’une émotion perturbatrice prédominante qui est le désir et l’attachement et c’est ça qui, sur le plan karmique, fait qu’une âme individuelle se manifeste sous un corps humain, c’est le désir et l’attachement.

Et le désir et l’attachement et l’amour, on fait vraiment un amalgame entre les deux. Bon, ce ne sont que des mots, on peut se faire des définitions très différentes les uns des autres mais sur la manière dont on expose ça nous, lorsque nous sommes des enseignants de yoga et qu’on développe des réflexions philosophiques sur ces sujets là, eh bien on dit qu’effectivement, ça peut se ressembler, cet amour mondain qui en réalité serait plus du désir et de l’attachement et cet amour qui serait un amour beaucoup plus pur.
Un amour pur, simplement. Ça peut se ressembler mais ce n’est pas du tout la même chose.

Sur le plan du yoga, on pourrait même dire ultimement que l’amour et le yoga c’est la même chose.

Quand il n’y a plus rien

J’avais lu ça quelque part, j’avais trouvé ça intéressant, c’était quelqu’un qui était en fin de vie et qui était en train d’avoir une réalisation vraiment profonde sur le plan spirituel et qui expérimentait des choses qui commençaient à s’approcher de la pure vérité et qui témoignait comme ça, au travers de mots, même si ça reste insatisfaisant et qui disait « quand il n’y a plus rien, il ne reste plus que l’amour ».
Et je pense que ça, c’est beaucoup plus proche de ce qu’est vraiment l’amour.

Ultimement, on pourrait dire que l’amour c’est l’union, donc l’amour c’est le yoga.

C’est pas du tout la même chose.

Le nom et la forme

Nous, sur le plain mondain, on est très attaché au nom et à la forme, à tout ce qui se manifeste sur le plan mondain, auquel on attribue un nom que l’on manifeste sous un plan, une forme, que l’on peut appréhender avec nos sens, que ce soit au niveau visuel, du toucher, avec l’ensemble de nos sens.

On est très guidés par nos instincts de désir, d’attachement. Encore, il n’y a pas longtemps, j’entendais ça de la part de quelqu’un qui disait « oh mais quand on va en Inde, ces indiens qui ont la peau mate avec des cheveux noirs, qu’est-ce qu’ils sont beaux ! ».
Tout ça pour exprimer ce rêve qui serait de pouvoir avoir un mari indien, simplement parce que sur l’aspect de la forme, on est très attiré par quelque chose, on aurait le désir idéalement, si on pouvait avoir le choix, d’avoir un tel mari, donc on est très attachés à la forme.

Bon, nous les hommes, c’est-à-dire les êtres humains du genre masculin, on sait très bien qu’on a une tendance à être très attachés à la forme, à l’esthétique, aux attributs féminins et on appelle ça de l’amour.

En réalité c’est plutôt du désir et de l’attachement, ça n’a strictement rien à voir. C’est quelque chose que l’on veut s’approprier. On est en priorité beaucoup plus sensible à manifestations extérieures qu’à l’aspect profond des choses et des êtres.

Quand on dit l’amour que l’on porte à sa moitié, autrement dit, ce serait comme si c’était une non question, une question qui sur le plan du yoga n’a pas de sens.

Parce que bien sûr, je pourrais faire un développement sur le plan mondain, c’est-à-dire sur le plan sur lequel on définit l’amour pour le plus grand nombre d’entre nous, mais à ce moment là ce serait plus du domaine des sociologues, des gens comme ça, je ne suis pas le plus qualifié pour répondre à ça. D’ailleurs je vis seul en ce moment et depuis un moment, donc ce n’est pas mon expertise.

Mais si vous posez cette question en tant qu’enseignant de yoga, alors là oui, je peux dire que ça n’a aucun sens sur le plan de la philosophie du yoga.

Pourtant, toi, la personne qui écoute cette vidéo et qui a posé cette question, si tu écoutes et que tu te reconnais, je t’aime mais au-delà de ce que tu peux être au niveau de ta forme, etc. Je t’aime, tout simplement.

Bref, c’est une non question au niveau du yoga.

Le concept de moitié

Vous savez, il y a le concept de moitié après. J’ai déjà amorcé une réponse là-dessus, mais le concept de moitié, c’est-à-dire que moi je serais une moitié et qu’en face il y aurait ma moitié. C’est-à-dire ces deux choses séparées l’une de l’autre comme ça.

C’est comme si on créait une séparation, une division entre les deux. Et de toute division nait un désordre, un chaos, un conflit. C’est vraiment l’inverse de l’union.

L’interdépendance et l’impermanence

On a besoin de l’autre, ou en tout cas on a le sentiment d’avoir besoin de l’autre pour être plein. Et ça c’est complètement illusoire. Parce qu’en fait, tout ce qui est composé de partie comme ça, par nature, est imparfait. Pourquoi ? Parce que par nature, tout ce qui est composé de parties, donc, est impermanent. C’est-à-dire qu’un jour c’est là, un autre jour ça ne sera plus là, c’est sûr, tôt ou tard.
Des fois plus rapidement qu’on ne le pense.

Mais à un moment où à un autre, les choses qui sont composées de parties comme ça, bougent et se séparent, se transforment et c’est plus forcément comme on le voulait. On a tendance à vouloir figer les choses et ce n’est pas comme ça que la vie fonctionne. Quand on fait ça, on se sépare, on se coupe de la vie vraiment, on est bien loin de l’union, du yoga.

La souffrance générée

Si on attend toujours quelque chose de celui ou celle qu’on appelle l’autre moitié, on vivra toujours des tourments et on sera loin de l’union.

Déjà si on est seul, on va déjà peut être souffrir de devoir trouver sa moitié.
Et ayant trouvé sa moitié on se rendra peut être compte à quel point ça n’a pas été facile de trouver celui ou celle que l’on appelle sa moitié aujourd’hui.
Ensuite, on va souffrir de garder sa moitié, parce que ma foi, quelque part, même si on n’a pas envie de se l’avouer, pas envie de se le dire parce que ça nous plait pas, on n’a pas envie de voir ça mais on le sait très bien et avec ça on souffre, de la peur de prendre sa moitié.

Donc on est aussi soumis à cette peur d’avoir sa moitié, de la connaître, et aussi soumis à cette peur de garder sa moitié parce que ma foi on n’est sûr de rien et à un moment ou à un autre on va perdre sa moitié.
Aujourd’hui c’est pas rare que l’on perde sa moitié en cours de vie et beaucoup plus vite que ce que l’on croit et dans le meilleur des cas, si l’on peut appeler ça comme ça, de toutes façons au moment de la mort on sera séparés.

Donc d’une manière ou d’une autre, tôt ou tard, et là encore, on va souffrir.

Bref, si l’on a besoin d’une autre partie pour se sentir plein, on va de toute façon être soumis à de nombreuses souffrances, de nombreux tourments. On idéalise, mais on se méprend complètement.

Le sens du couple

Donc après la question peut se poser, mais à quoi ça pourrait servir d’avoir un partenaire ?

Sur le plan du yoga encore une fois puisque je me refuse de répondre sur un plan que je ne connais pas, sur le plan mondain demandez à d’autres personnes, il y a plein de gens qui sont dans le développement personnel, des choses comme ça, qui vous donneront d’autres éléments de réponses.

Si on a un autre partenaire il pourrait y avoir qu’une utilité, c’est de s’élever l’un et l’autre, de se tirer l’un et l’autre vers le haut, de faire en sorte que l’on soit chacun l’un pour l’autre une espèce de catalyseur qui permette de nous élever spirituellement, qui nous permet jour après jour de devenir une meilleure version de soi même et qu’on puisse mesurer ça, quand on porte un regard vers un an en arrière, qu’on puisse dire « oui vraiment ensemble on a cheminé, on s’est élevés, on s’est bonifiés, on est devenus de meilleurs êtres humains »; rien que cela c’est déjà très bien et c’est une première étape à atteindre avant de se prétendre un être spirituellement élevé, vous voyez se raconter ce genre d’histoires à dormir debout… devenons simplement humain, arrêtons de compliquer les choses encore et encore, toujours et toujours…

Dans ce sens là ça sert, si c’est quelque chose qui permet d’acquérir plus de puissance pour ça, alors là, oui, il y a un sens. Mais si c’est pour être dans ces tourments, dans ces jeux psychologique où on se cherche les uns les autres en permanence et on se cherche l’un et l’autre, on se fait souffrir, on a peur, pas confiance, ça ne sert pas à grand-chose, surtout si il y en a ne serait-ce que l’un sur les deux qui se sentirait tiré vers le bas, la relation ne sert pas à grand-chose. Et à coup sûr si l’un se sent tiré vers le bas et l’autre vers le haut, obligatoirement on est dans une espèce de jeu psychologique qui est malsain.
C’est ce que je pense, désolé !

Ce qu’on peut faire, simplement, pour peut être vivre l’amour sur le plan du yoga, sur le plan  de la pureté de l’amour, c’est intéressant de se placer du point de vue de son âme et se relier à son être le plus profond, à cet être vraiment intime qui est en nous.

C’est-à-dire que l’âme puisse s’observer elle-même. C’est vraiment l’être intime de votre être le plus profond.
Et laissez cet être intime être le témoin de ce mental, laissez le être celui qui règne sur ce qui vous anime, sur ce souffle de vie, cette énergie, ce prana qui anime tout… vécu comme cela de manière spontanée, on est au coeur du yoga et on est loin du simple cours de yoga à lyon, du yoga los angeles, du yoga bourgeois quoi… 🙂

Mâ Ananda Moyi

Et je voudrais terminer par une citation que j’ai notée de Mâ Ananda Moyî, une grande sainte indienne du XXe siècle, peut être l’une des plus grandes, ou en tout cas la plus connue sur le plan du yoga en Inde.

Elle disait :

« Les plaisirs que vous avez dans la vie dépendent des sens et des objets matériels, ils sont toujours passagers. Savez-vous ce qu’est la béatitude ? C’est ce qui ne dépend de rien d’autre, elle est en soi, parfaite, réelle, éternelle. Elle se révèle comme le soleil. »

Voilà. Bonne chance avec ça, débrouillez vous avec ça ! Si vous voulez aller un peu plus loin, on va bientôt commencer le cycle « 2 mois pour une vie nouvelle » donc je programme une conférence avec une présentation du cycle fin novembre et on va commencer dès le début du mois de décembre. Alors si vous voulez apprendre à méditer pour vivre plus de bonheur et de plénitude, être plus heureux et bine notez ça sur votre agenda. D’ailleurs vous allez tous recevoir un message si vous êtes déjà dans la liste de diffusion, si vous écoutez cette vidéo et que vous n’y êtes pas encore, vous allez sur l’un des sites et remplissez l’un des formulaires, donnez votre nom, expliquez que vous voulez être invité également et vous pourrez faire partie des participants.

Si vous avez aimé cette vidéo, cliquez sur J’aime. Si vous n’êtes pas encore abonné, faites le maintenant, comme ça vous êtes au courant dès la sortie d’une nouvelle vidéo.

 

 

 

Différence entre les exercices physiques ordinaires et ceux du Yoga.

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Postures et exercices physiques

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Bonjour mes chers amis, François expert de méditation et de yoga à lyon. Je vous ai parlé récemment de ce qu’est le yoga afin d’éviter toutes les confusions et représentations que l’on s’en fait et en avoir une définition authentique en réalité, c’est ça que je veux vous donner ici, des choses authentiques. Alors, en particulier ce qu’on connait du yoga nous, ce sont les exercices physiques, ce qu’on appelle les postures de yoga, les techniques de relaxation…Moi j’aime bien appeler ça une posture pour le yoga.

La différence entre les postures de yoga et les exercices physiques

Quelle est la différence entre les exercices physiques que l’on pratique sur le chemin qui nous mène au yoga, c’est-à-dire les postures, les asanas,  et les exercices physiques ordinaires. On peut voir ça sur plusieurs plans, déjà sur le but qui est poursuivi par les activités physiques ordinaires où l’on recherche souvent une performance physique ou alors on a peut être simplement un but esthétique, ou encore on souhaite entretenir sa forme physique. Mais quoi qu’il en soit on poursuit un but qui est physique.

Le but poursuivi

Dans les techniques posturales qui sont propres à ce chemin qui nous mène vers le yoga, les asanas,  le corps physique c’est absolument pas un but en soi. Simplement un moyen, considérant que le corps physique est un support de libération, c’est-à-dire un support qui va nous permettre d’aller vers cette réalisation spirituelle, d’aller au-delà de nos peurs, de la souffrance, c’est ce que l’on dit dans la philosophie, aller au-delà de la souffrance, dépasser cette notion. Parce que ça procède d’une émotion qui se fait, on est capable de discerner ce qui est réel de ce qui ne l’est pas et comprendre que finalement nous ne sommes pas ce corps. On considère ce corps physiquement seulement comme un moyen, un véhicule. Vous voyez que le but est totalement différent dans cette perception que l’on a vis-à-vis du corps physique.

L’identification au corps

Au niveau des exercices et de la manière dont ils sont exécutés, quand on fait des exercices physiques, une activité ordinaire, souvent on a le corps qui est en mouvement, parfois de manière assez violente et on ne met pas l’accent sur l’intériorisation, donc on est vraiment dans le mouvement, on dit que c’est un exercice de type rajasique. C’est-à-dire qu’on le met vraiment en mouvement et encore une fois cette identification au corps.

A l’état naturel

Dans la pratique posturale, les exercices physiques propres au yoga, on est plus volontiers dans une situation d’immobilité totale, non seulement totale mais prolongée. En plaçant son esprit dans une sensation d’aisance pour vraiment vivre cette aisance et faire cette expérience que si on souhaite placer son esprit, c’est possible de transformer les choses et de passer d’une situation d’inconfort à une situation d’aisance. Bref, on est dans cette situation d’immobilité avec aisance tout en étant concentré sur certains points particuliers et parfois sur un point précis dans la posture. Donc en absorption méditative, dans cette idée de détachement. On n’attend pas de résultat particulier, on s’installe simplement dans le bien être, dans l’état naturel.

Le plan physiologique

Au niveau cardio-circulatoire

Au niveau physiologique, quand on fait des exercices physiques traditionnels, quand on fait du sport, on sollicite le corps de manière intense et parfois on met vraiment à l’épreuve le cœur, l’appareil circulatoire, toutes nos fonctions, c’est encore une fois parfois assez violent. Quand on fait les pratiques posturales, on pratique, vous le savez, des étirements musculaires doux et prolongés et en étirant les muscles on favorise le retour veineux, ça permet d’éliminer toutes les stases sanguines, c’est très bon. Et aussi, quand on pratique les postures inversées, la posture sur les épaules ou ce qu’on appelait à l’école la chandelle, eh bien le retour veineux au niveau de ces grosses masses musculaires que sont les jambes, les membres inférieurs, le retour veineux est vraiment facilité puisque grâce à la gravité, le sang redescend vers le cœur tout seul, sans le moindre effort. Là encore, vous voyez que le corps, on n’est pas vraiment dans une action intense, violente, c’est très relax en même temps. Ce qui fait qu’au niveau de l’énergie, dans le sport, on en dépense beaucoup. Des fois on a l’impression d’être détendu mais on est juste tellement fatigué qu’on est relâché, en même temps on a qu’une aspiration après le sport c’est de se reposer.

L’énergie

Quand on a pratiqué une séance de hatha yoga avec des postures, au contraire on a dépensé un minimum d’énergie et on a fait en sorte de prendre un maximum d’énergie. En général on s’est beaucoup rechargé en énergie. Déjà en pratiquant de la manière dont en pratique les postures de yoga quand elles sont correctement guidées, ça va lever beaucoup de blocages énergétiques et ça va favoriser la circulation de l’énergie et on va se remplir au contraire en ayant dépensé un minimum d’énergie.

Voilà pour l’essentiel les différences qu’on peut faire entre les exercices physiques ordinaires et les exercices physiques propres au yoga, en particulier la pratique posturale, la pratique des asanas.

* Les 5 principes du Yoga selon la tradition Sivananda

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Yoga Sivananda: Les 5 principes

Si vous recherchez un cours de yoga Sivananda à lyon, vous tombez bien!… rejoignez-nous et commencez par une séance d’essai gratuite de yoga!

Bonjour mes amis, François, expert de yoga, méditation et autres techniques de bien être. Je vous retrouve pour une petite vidéo, je suis ici à 1300m d’altitude, c’est très boisé, il y a beaucoup de sapins et de végétation. Ainsi, Il faut juste faire attention qu’il n’y ait pas de vipères qui traînent par ici. Je voulais revenir sur la définition du yoga.

Quelques précisions

Parce que quand je vous ai donné la définition du yoga lors d’une précédente vidéo, je vous ai dit que c’est l’union de l’âme individuelle avec l’âme universelle. C’est joli, comme ça, effectivement c’est ça. Autrement dit,  s’il on commence le yoga comme une philosophie purement non dualiste, cela peut se révéler difficile à comprendre… C’est bien pour ça que parfois, on vulgarise les choses…

Donc on parle de yoga quand on parle de postures, de techniques de respiration, de relaxation par exemple. C’est simplement pour avoir un langage qui est accessible à la compréhension de tout le monde, pour simplifier les choses. Ce n’est pas rigoureusement exact dans l’absolu, mais d’une manière relative c’est accepté, parce que ma foi, pratiquer le yoga de cette manière, à travers des exercices physiques, des respirations, de la relaxation, pratiquer un certain mode de vie, et bien c’est en quelque sorte comme un pont qui va nous permettre de cheminer de niveau de compréhension de là où nous nous trouvons vers un autre mode de compréhension qui nous échapperait totalement si on n’avait pas quelque chose pour faire le lien. Prenons le comme ça.

Swami Vishnu Devananda

Je voulais revenir sur une définition que Swami Vishnu Devananda a fait du yoga et de la pratique que l’on doit en faire nous, à notre niveau. Pour préciser, déjà, Swami Vishnu Devananda est l’un des principaux disciples d’un grand saint Indien qui s’appelait Swami Sivananda.

Swami Vishnu Devananda a diffusé le yoga, c’est son maitre qui lui a demandé de partir en Occident, à un moment il lui a dit « les occidentaux sont prêts, va, tu dois répandre le yoga ». Il est arrivé au Canada, il n’avait rien. C’était autour de 1960…  Et depuis, cette organisation de yoga Sivananda est la plus grosse organisation au monde de yoga. C’est pour dire quelle activité Swami Vishnu Devananda a pu avoir pour développer le yoga, c’est quelque chose d’absolument immense. Il a eu le génie de rendre un enseignement assez hermétique très simple à la compréhension des gens, et en particulier à la compréhension du mental occidental.

les 5 principes de la pratique

 Lorsqu’il a parlé du yoga, pour définir ce qu’était le yoga, il a dit « déjà, sachez que ça s’appuie sur 5 principes essentiels ».

Ainsi, Le premier principe, c’est pratiquer des exercices physiques de manière correcte (on reviendra sur ce que c’est que correct un peu plus tard).

Ensuite, le second point, c’est pratiquer des exercices de respiration, là aussi de manière correcte.

Le troisième point, pratiquer la relaxation correcte.

Le quatrième point, c’est adopter une alimentation saine. Et lorsque Swami Vishnudevananda nous demandait d’adopter une alimentation saine, alors, au principal, ce qu’il nous demandait, c’est d’adopter une alimentation végétarienne. On pourra revenir dessus, c’est autre chose, c’est pas forcément facile à admettre pour tout le monde.

Le cinquième point, c’est pratiquer la pensée positive et aussi avoir une pratique méditative.

En synthèse:

– Exercices physiques corrects,

– Respiration correcte,

– Relaxation correcte,

– Alimentation saine,

– Pensées positives et méditation.

En conclusion

Voilà, en tous les cas moi je m’appuie sur cette façon de présenter les choses lorsque je transmets à travers mes cours de yoga Sivananda à Lyon… Tout ça, bien sûr, lorsque vous faites des formations approfondies de yoga, c’est largement développé. Là c’est un peu comme si je vous donnais 5 titres. Mais retenez ça, ça vous permet de clarifier de manière extrêmement basique les choses sur quelle doit être la pratique de son yoga, lorsqu’on veut cheminer vers le Yoga avec un grand Y, c’est-à- dire vers l’union, eh bien on doit commencer par ça. J’espère que cette vidéo vous a plu. Si c’est le cas, je vous invite à cliquer sur J’aime et à vous abonner pour être mis au courant des dernières vidéos sorties.

 

* Méditation pleine conscience Lyon: Témoignage

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Christiane : Bonjour François

François : Eh bien écoute je suis content de te retrouver ce soir, surtout que tu t’es proposée pour venir parler de l’expérience que tu as faite alors que tu t’es engagée dans la pratique de la méditation avec  le cycle « 2 mois pour une vie nouvelle ». A l’occasion de ce cycle, j’ai eu l’occasion de te retrouver parce que tu participais également aux cours de yoga à Lyon et nous nous étions quittés pour un moment. C’est super que tu aies partagé cette expérience.J’ai l’impression que ça s’est vraiment bien passé pour toi, je voulais que tu parles un peu pendant 2 minutes de ce que la méditation t’as apporté.

Christiane : En fait, j’avais commencé à faire du yoga avec toi et de la méditation,et  j’avais déjà goûté avec toi ce qu’était la méditation, surtout le travail sur les émotions. J’avais beaucoup aimé, ça m’avait déjà beaucoup apporté à ce moment-là, et j’avais très envie de participer « 2 mois pour une vie nouvelle » pour développer un peu plus la méditation. Et quand l’occasion s’est proposée, j’étaisdisponible, tout concordait, donc je l’ai pas ratée.

François : Et au final, alors ?

Christiane : Eh bien je ne regrette pas du tout parce que ça m’a apporté énormément et surtout ça m’a permis de mieux maîtriser ce que j’avais appris au début. J’avais un peu appris, ça me rendait service dans certaines situations alors que là c’est tout le temps.

François : Ça te rends service tout le temps dans ta vie.

S : Oui et je me rends compte que je l’ai intégré la méditation dans mon quotidien, c’est devenu naturel et automatique.

François : C’est-à- dire qu’il y a vraiment un automatisme de comportement mais aussi de ressenti, tu vis ta vie différement.

Christiane : Oui c’est énorme. C’est impressionnant.

François :  Oui, c’est pour ça que je fais témoigner des gens comme toi, parce que parfois, quand je le dis moi-même, évidemment, on me dit « oui tu parles de ton truc », mais oui, tu peux attester que c’est énorme.

Christiane : Y a tellement de situations où je me dis « oh tu réagis pas comme avant », c’est impressionnant. Donc c’est tout bon.

François : Ça fait une grande différence.

Christiane : C’est pour ça que je le dis.

François : C’est super, je crois que ce témoignage que tu offres à ceux qui regardent cette vidéo est super.

Merci Christiane.

Christiane : Merci.

* “OM”: Le son primordial par François enseignant de Yoga à Lyon

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Bonjour mes amis, François, expert de méditation et de yoga à Lyon.

Ecoutez je suis à Lyon et je termine tout juste un cours de yoga, les derniers élèves sont partis, je ne voulais pas terminer la journée sans vous faire une petite vidéo.
Vous entendez peut être derrière moi un son particulier que vous reconnaissez peut être, c’est le son om.

Je voulais vous parler un peu de ça, de ce qu’est le son om. Ce que c’est déjà symboliquement, on dit que le om c’est cette syllabe sacrée qu’on entend souvent au début des mantras, comme par exemple om namah shivaya ou om mani padme hung pour la tradition Tibétaine.
Dans chaque mantra, ça commence par om, et le om en lui-même, on dit qu’il contient tous les matras.  Om, symboliquement, c’est la vibration originelle, on dit la vibration universelle, qui est à la source de toute création, quelle qu’elle soit.
C’est-à-dire qu’on dit que l’univers provient de Om et puis repose également en Om, et si l’univers devait se dissoudre, il se dissoudrait en Om, et en tout état de cause, le Om c’est quelque chose qui est inaffectable, qui ne peut pas être détruit, c’est quelque chose de permanent, autrement dit la conscience cosmique qui ne peut pas être affectée quoi qu’il se passe, même si l’univers explosait, Om serait toujours là.

Et ça symbolise la conscience cosmique, c’est pour ça qu’on répète ce son, qu’on récite ce son, c’est pour favoriser l’union de notre âme individuelle avec l’âme universelle et pour revenir à notre essence, parce que nous même on provient de Om. Autrement dit favoriser l’union, le yoga.

Donc, si on pouvait se trouver dans un endroit parfaitement silencieux où on a l’impression de ne pas entendre le moindre son et si on avait les sens suffisamment développés pour entendre les sons de l’univers, eh bien c’est ce son là que l’on entendrait, le son Om.

Autrement dit, quand vous en avez besoin et si vous n’avez pas de professeur de yoga pour vous enseigner, que vous n’avez pas reçu de cours, vous pouvez très bien réciter le Om pour vous apaiser. Vous allez voir, le fait de le répéter plusieurs fois comme ça, tranquillement, à voix basse, ça vous donnera un sentiment de plénitude et, effectivement, de revenir vers votre essence ou en tout cas être beaucoup plus proche de votre essence… Ceci est une pratique simple mais la profondeur est dans cette simplicité et vous êtes ici dans toue la profondeur du yoga.

C’est un son merveilleux, il est à l’origine de toute création, ce qui veut dire qu’en même temps, c’est un son qui fait qu’on peut rentrer en union avec l’univers tout entier, mais on va déjà commencer par nos semblables, la nature, notre environnement.
C’est le son de l’union, le son sacré entre tous, en tout cas dans la tradition du yoga.

J’espère que ces explications complémentaires étaient suffisantes pour vous. Si vous avez des questions laissez un commentaire, je suis là pour vous répondre.

Si vous avez aimé, cliquez sur J’aime et abonnez-vous si ce n’est pas encore fait.

 

 

Quelle est votre source de bonheur?

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Chers amis bonjour, François, expert de méditation et de yoga à Lyon.

Aujourd’hui je voulais faire cette vidéo de yoga, comme je vous l’avais promis, dans la continuité de la dernière vidéo dont l’intitulé était « Est-ce que tu m’aimes? » où je parlais du concept d’aimer, de ne pas aimer. Je vous avais dit que je ferai un petit développement sur le plan de la philosophie du yoga sur cette paire d’opposés en quelque sorte, qui fait qu’on place les choses soit dans la catégorie des choses que l’on aime, soit dans celle que l’on n’aime pas.

Alors, dans la philosophie du yoga, on dit déjà qu’il y a 5 obstacles majeurs sur la voie qui mène au yoga donc qui nous empêche d’atteindre le yoga, donc l’union. Et en particulier, on a ça, d’une part tout ce qui peut s’assimiler au « j’aime », tout ce qui est de l’ordre de l’attachement, de l’attraction, qu’on peut ressentir vis-à-vis de certaines situations, des choses qui nous attirent, des expériences que l’on souhaite voir se produire ou reproduire si on les a déjà vécues, des expériences auxquelles on est attaché.

Et puis par ailleurs, à l’inverse, on a un certain nombre de choses, de situations, d’expériences que l’on fuis et pour lesquelles on éprouve une certaine aversion et qu’on ne souhaite pas voir se produire ou reproduire.

Et, de la même façon qu’on fonctionne en j’aime/j’aime pas, là on fonctionne avec ça. Soit avec un sentiment d’attraction envers les choses, soit avec un sentiment d’aversion.
En pensant que tout ce qui est source d’attraction pour nous, si on a de l’attraction, c’est qu’on pense que ça va nous apporter du bonheur.

En fait, nous dans la philosophie on parle plus de plaisir, de plaisir mondain, et on fait une certaine confusion entre le bonheur authentique, stable, indépendant des conditions extérieures et ces plaisirs mondains qu’on recherche dans les situations extérieures. Dans le programme de formation à la pratique de la méditation, outre les techniques de méditation, nous approfondi-dissons toutes ces réflexions.

Et pourquoi finalement ce bonheur est insatisfaisant, illusoire ? C’est tout simplement que les situations, tout ce qui peut se manifester sur le plan mondain, par nature, est impermanent, c’est-à-dire qui ne dure pas. Quand bien même on pourrait acquérir ce qu’on voulait acquérir pour expérimenter ce plaisir mondain eh bien on aura mis des efforts, beaucoup d’efforts pour acquérir ce que l’on voulait et ça aura été source de souffrance pendant ce temps là.
Et quand on a acquis ce qu’on voulait eh bien ensuite on sera dans cette crainte de perdre ce qu’on a si durement acquis et là ce sera une autre forme de souffrance. Au passage, le but du yoga, en tant que voie spirituelle, c’est la libération… Libération de tout ce qui se trouve à l’origine de la souffrance… 

Au final, quoi qu’il en soit, puisque par nature, sur le plan mondain, eh bien tout est impermanent, eh bien, à un moment, cette expérience qui nous réjouit va cesser d’une manière ou d’un autre, c’est inévitable. Là on va souffrir de perdre ce qu’on a si durement acquis.

C’est pour ça qu’on dit que si on s’attache à vouloir construire notre bonheur sur la base des choses extérieures, des situations, possessions, acquisitions que l’on va pouvoir faire. Eh bien on se méprend totalement, et ça porte déjà par nature le germe de la souffrance.

A l’inverse, toutes les situations que l’on cherche à éviter, et qui sont pour nous source de rejet, d’aversion, eh bien là aussi, on rejette ces choses, ces situations, parce qu’on pense que ça nous amène de la souffrance. De fait, le fait d’y penser, on le construit mentalement, on conceptualise, ça devient comme ça, on souffre vraiment.

Et on fonctionne comme ça, c’est-à-dire qu’on sépare les choses, les expériences de la vie, dans des catégories. On les compare, les évalue, on fait une différenciation entre toutes les expériences.

L’idée serait d’aller chercher le bonheur au fond de soi, indépendamment des circonstances extérieures, pour développer un état d’esprit qui soit beaucoup plus équanime et beaucoup moins dépendant des circonstances extérieures et pouvoir embrasser la vie avec toutes les expériences qu’elle nous offre d’expérimenter. Parce que la vie comprend toutes sortes d’expériences.

Alors, des expériences qui sont de prime abord, je dis bien de prime abord, perçues comme agréables, et d’autres expériences qui sont, encore une fois de prime abord, sont perçues comme désagréables, mais ne le sont pas forcément.

Avoir finalement une attitude d’esprit beaucoup plus ouverte et embrasser la vie avec toutes les expériences qu’elle nous propose de vivre, tout simplement.

Alors ça c’est un point de vue que l’on développe encore plus profondément pendant les formations bien sûr, donc si ça vous intéresse, je vous encourage à vous pencher un peu sur le sujet du cycle de formation « 2 mois pour une vie nouvelle » parce que c’est intéressant… Et outre le fait d’aborder différentes techniques de méditation, d’apprendre à méditer, on développe aussi toutes ces réflexions de manière encore plus profonde.

Avant de partir je voudrais vous poser une question et vous demande de répondre en commentaire à cette question : pour vous, qu’est-ce qui vous amène le plus de bonheur dans votre vie ? Est-ce que vous pensez que ce bonheur est vraiment stable pour vous ? C’est-à-dire, est-ce que vous comptez sur cette chose qui vous apporte le plus de bonheur dans votre vie, est-ce que vous comptez dessus à un point où vous vous dites « oui franchement ces conditions seront toujours là pour moi pour que je puisse expérimenter cette chose à laquelle je suis tant attaché, à laquelle je tiens tant ».

Dites moi ça, faites moi un commentaire, l’expérience qui semble vous apporter le plus de bonheur dans votre vie.

La salutation au soleil – mouvement n°4 # vidéo 7 sur 12

Pré-inscriptions immédiates  et sur demande aux conférences de présentation du cycle de formation ici (quel que soit votre lieu de résidence): « 2 mois pour 1 vie nouvelle »

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Bonjour à tous, on se retrouve aujourd’hui pour voir ensemble le temps 4 de la salutation au soleil ou surya namaskar avec Marc et Emillie de yoga satyam à Lyon Bellecour..

Alors Marc va se mettre en position au bord du tapis, pieds joints, il va reprendre depuis le début les temps 1, 2 et 3 qui ont déjà été expliqués dans les vidéos précédentes.

Voilà, ici il est bien en extension, temps 3 il fléchit les genoux pour descendre dos droit, les mains sur la même ligne que les 2 pieds.

Ici le temps 4, pied gauche en arrière, le genou touche le sol et vous voyez qu’il est sur le bout des doigts, on peut être aussi les mains à plat au sol pour pouvoir redresser le dos, avoir le dos bien en extension et la tête dans le prolongement du corps.

Voilà, on va observer en particulier le genou avant qui est fléchi mais qui ne dépasse pas l’avant du pied parce qu’ici on ne va pas trop solliciter les tendons du genou donc ne pas trop fléchir pour ne pas créer d’inflammation du tendon rotulien, c’est ça François dont tu parlais.

Ici, le tibia est bien droit. Donc placer bien la jambe gauche suffisamment en arrière, ce qui donne une bonne extension du devant de la cuisse et voici ici on est très bien.

Voilà.

François : Ce que tu peux montrer Marc, souvent ça se présente quand c’est pas très bien fait, et puis que le tibia n’est pas droit et que ça étire le tendon rotulien.

Alors c’est le cas ici quand le genou gauche, arrière, n’est pas assez reculé. Voici, recule le genou gauche. Vous voyez qu’ici tout de suite le tibia se place bien droit.

Il y a un autre cas, c’est quand, parfois, les doigts des mains et les orteils du pied droit ne sont pas alignés. Par exemple les doigts des mains franchement en avant, là, à nouveau, donc, le tibia a tendance à se pencher vers l’avant, le genou à pointer vers l’avant et donc ça étire le tendon rotulien. Il faut vraiment deux choses : à la fois que les doigts des mains et des pieds soient bien alignés, que le genou gauche, arrière, soit bien éloigné, et qu’au final le tibia soit bien droit, c’est important.

Pour le temps 4, on a bien fait le tour de la question. Pour autant, si vous avez des questions, bien sûr, posez les, si vous avez besoin de précision car dans la pratique du Hatha Yoga la précision c’est quelque chose d’important d’autant plus par vidéo interposée puisque à l’occasion d’un cours de yoga à Lyon j’ai la possibilité de vous corriger directement mais ici ce n’est pas le cas alors étudiez bien ces vidéos de yoga.

Si vous avez aimé cette vidéo, cliquez sur J’aime, abonnez vous à la chaîne si vous ne l’avez pas encore fait.

On se retrouve pour le temps 5 dans la prochaine vidéo, au revoir mes amis !

Yoga lyon – La salutation au soleil – mouvement n° 1 – # video 4 sur 12

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Bonjour chers amis !

Toujours avec Emillie, une collègue de yoga, qui enseigne, je vous le rappelle au centre de yoga longtemps dirigé par Alain Bonnet au niveau de la place Bellecour… un collectif de 4 nouveaux professeurs s’est constitué pour former l’association satyam, ce qui permet s’inscrire dans la continuité la formidable activité déployée au service du yoga, mais surtout au service de l’humanité par Alain Bonnet et ce, pendant presque 30 années… Un immense respect pour cela à Alain… On continue dans cette pratique préalable du yoga avec la salutation au soleil  ou surya namaskar et on va commencer aujourd’hui par le temps 1, tout simplement, le premier mouvement.

Je vous rappelle, vous avez peut être regardé la précédente vidéo sur le temps zéro avant même qu’on commence à faire quelque mouvement que ce soit, on prend le temps de bien s’enraciner dans le sol, de se sentir stable, bien gainé au centre, de repousser le sol avec ses deux pieds, toute la surface de ses deux pieds à la fois… Bref, comme toujours dans toute pratique du yoga on prend le temps de se préparer, d’être bien présent à l’expérience du moment présent, bien présent à ce que l’on “fait”.

Le temps 1, on appelle ça « mains jointes au niveau du cœur ».
C’est-à-dire qu’on met les mains jointes au niveau du cœur, les coudes sont légèrement sortis, sans plus. Pour certains, les coudes sont carrément très sortis, mais vous pouvez les sortir naturellement, le tout c’est que les épaules soient détendues.

Quand vous placez les mains jointes comme ça, l’idée c’est de vous centrer encore un peu plus. Vous mettre déjà dans l’état d’union, dans l’état de yoga. D’union avec vous-même mais aussi d’union avec le tout, l’environnement au sens le plus large du terme… au passage je vous rappelle que, littéralement, le mot yoga signifie “union”.

SI vous faites ça en extérieur, en pleine nature, l’idéal c’est de faire face au soleil, vous pouvez vous placer dans un état d’union avec le soleil: on pourrait ainsi parler de surya yoga, autrement dit oui: union avec le soleil, uni au soleil, un avec le soleil.

Rentrez en union avec le soleil.

Si vous êtes chez vous et que vous n’avez pas le soleil en face de vous, vous pouvez très bien l’imaginer comme étant en face de vous.

Là vous êtes déjà intériorisé et prêt pour cette salutation au soleil de manière intériorisée.
C’est important parce que même si la salutation au soleil s’exécute de manière assez dynamique, il faut toujours être présent à ce qu’on fait en permanence et pendant les 12 mouvements.

Tu voulais rajouter quelque chose Emilie ?

Emilie : Non

François : Emilie est ok avec tout ce que j’ai dit aujourd’hui ! Retenez simplement d’être intériorisé surtout.

Je vous donne rendez-vous pour la prochaine vidéo, on va aborder le temps 2, il y aura pas mal de choses à aborder.

A bientôt mes amis, au revoir !

Yoga et philosophie de vie: “Se libérer du jugement d’autrui” – François Yogesh – Lyon

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Bonjour mes amis, ici François, expert de méditation de yoga à lyon.

J’ai choisi aujourd’hui de faire cette vidéo de yoga pour vous parler de quelque chose qui est quand même vraiment très important.

Vous savez des fois on entend dire des choses sur certaines personnes. Au fond, on entend dire des choses qu’on n’a pas personnellement constaté et on a tendance à s’approprier ce que l’on entend sur ces personnes, alors qu’en réalité nous n’en savons rien… nous sommes bien loin de la philosophie du yoga et de tout ce que je m’attache à transmettre en terme de philosophie du yoga à mes élèves lyonnais mais aussi à tous ceux qui me suivent.

En effet, nous pouvons fréquemment observer cela: on s’approprie la vérité d’une personne, sa perception et on s’attribue ça…on en construit une vérité absolue, sans approfondir plus que cela.

Ainsi, parfois, en réalité, on juge des personnes qui font vraiment de bonnes choses. Ce qu’elles font c’est bon pour elles mêmes, bon pour les autres, ça sert le plus grand nombre et on critique parfois des personnes comme celles-ci alors que ce sont des personnes qui sont plutôt exemplaires en tous points.

Dans la voie du yoga, on parle souvent de l’importance d’observer les choses par soi-même de développer son discernement propre (viveka).

Alors, je voulais m’adresser à vous si parfois vous vous sentez concerné par ce que je viens de dire, et si vous faites partie de ces gens qui aspirent à réaliser des choses qui sortent un peu du cadre, de la norme, du modèle, et qui se trouvent souvent confrontées au jugement d’autrui: IL serait dommage que vous vous laissiez influencer par le jugement d’autrui! Soyez un noble chevalier, continuez et persévérez dans vos efforts tant que vous vous êtes assurés que ce que vous faites sert le bien d’autrui et n’est dommageable pour aucun être sensible.

Parfois, simplement, on se trouve freiné parce qu’on est sensible au jugement d’autrui, ça nous empêche de réussir, d’aller où on veut aller, parce que parfois eh bien on est sensible aux critiques, parce que pour nous ce message, cette critique, est ressentie comme un «je ne suis pas aimé »,  et nous avons envie d’être aimé par tout le monde, et quand on ne se sent pas aimé on se sent affecté, c’est une tendance que l’on a.

Et si on ne se libère pas de cette tendance, il y a plein de choses que l’on aimerait faire mais qu’on ne va pas faire parce qu’on va tenir compte du jugement d’autrui… Si le yoga ou la méditation occupent une place prépondérante dans votre vie, dépassez tout cela, cela fait partie de votre chemin d’apprendre à dépasser tout cela.

Ce qu’il faut comprendre, déjà, c’est comprendre pourquoi ça existe, pourquoi il y a cette tendance, qu’on a tous plus ou moins, même moi je me surprends à avoir parfois le comportement pas le plus adapté.

Déjà, il faut comprendre, même si vous le savez, on a une idée que pour réussir il faut être comme tout le monde, que pour être heureux il faut faire telles ou telles études, plutôt valorisantes, qui vont nous permettre d’avoir un job valorisant, qui va nous permettre d’avoir un salaire correct ou un bon salaire qui va permettre de construire tout ce qu’on a envie de construire : une famille, des enfants, une voiture, partir en vacances, une maison, épargner pour sa retraite, etc.

On a appris que pour être heureux il fallait faire tout ça. Et bien souvent, quand on a fait un bout de chemin dans sa vie, qu’on a réalisé au moins une partie de tout ça et qu’on est vraiment sur le chemin de faire tout ça, on se rend compte que pour autant on n’est pas vraiment heureux, il manque quelque chose… en tous les cas nous nous rendons compte que si nous remettons l’obtention de notre bonheur entre les mains des circonstances extérieures, entre les mains de telle ou telle acquisition matérielle, telle ou telle possession, telle ou telle renommée, nous serons de toutes façons insatisfaits car le bonheur ressenti n’est pas stable… Ce sont des réflexions que je vous permets largement d’approfondir à l’occasion du cycle de formation “2 mois pour 1 vie nouvelle”, où, bien au delà des techniques de méditation, la formation vise certes à apprendre à méditer mais aussi à comprendre la situation dans laquelle nous nous trouvons, et quel est le chemin à entreprendre pour intégrer la méditation dans notre vie.

 Bref, parfois, on a peur d’être différent et de sortir du cadre. Et pourtant, si on veut réaliser des choses extraordinaires, ça veut dire ce que ça veut dire : extra-ordinaires, eh bien obligatoirement il faut faire des choses différentes, sortir du cadre.

En réalité, quand vous avez fait un chemin sur vous-même, que vous avez pratiqué le yoga au sens profond du terme, que vous avez désormais un niveau de conscience supérieur à la moyenne, non seulement vous avez réglé une bonne partie de tout ce qui peut être un frein à la confiance en soi, vous avez aussi la capacité de sortir du cadre, de faire quelque chose d’autre, d’avoir des résultats intéressants qui sortent vraiment du cadre… Des résultats parfois vraiment super,  et quand les gens vous critiquent, disent des choses derrière votre dos, quand il vous trahissent, ça révèle quelque chose de complètement différent de ce qu’on pourrait croire, et l’on ne réalise pas toujours cela automatiquement.

C’est-à-dire que beaucoup de personnes, quand elles voient ça, vont réagir comme un miroir, elles vont voir l’image de la personne qu’elles auraient aimé devenir mais qu’elles n’ont pas pu devenir parce qu’elles ont simplement peur, ou sont dans l’incapacité d’aller au-delà de ces peurs qui ferait que justement elles pourraient à leur tour être critiques et donc avoir ce sentiment de ne pas être aimé.

Donc, c’est assez violent et de manière désordonnée les gens se défendent comme ils peuvent et vous critiquent.

Mais en réalité, sans qu’ils s’en rendent forcément compte, vous les inspirez. Ils se disent « ouuahh ».

Retentez ça, la prochaine fois qu’on vous critique durement, vous trahit, qu’on raconte des choses sur vous, vous êtes peut être simplement une source d’inspiration parce que vous faites preuve d’un engagement hors norme, vous faites preuve d’authenticité, de spontanéité, vous savez être vrai, vous pouvez aller au-delà de vos peurs, de prendre en main votre vie pour faire des choses qui sortent du cadre… Vous êtes peut être comme cela naturellement c’est à dire c’est peut être simplement l’expression même de votre karma, le fait que vous ayez atteint un degré de maturité et d’épanouissement, sur les plans mental, émotionnel et spirituel et cela, grâce au chemin qui a été le votre, le yoga, la méditation, le tai chi, le qi qong, ou une autre voie qui permet le développement intégral de votre être… En tous cas c’est source d’inspiration pour autrui!… et cela reste parfois ça reste trop violent.

Tiens, hier, j’avais une amie qui me confiait. Maintenant elle me connait bien, c’est un peu différent. Mais c’est vrai que de prime abord, quand on a beaucoup d’énergie, on peut sembler agressif. Mais en réalité on met de l’énergie dans ce qu’on fait, c’est grâce à ça qu’on réussit ce qu’on fait et parfois on fait la confusion entre les deux. Les gens disent parfois « t’es agressif » alors que vous mettez simplement de l’énergie. On n’est pas habitués, on agit parfois comme des robots, doucement, dans le sens où il faut et dès qu’on affirme une personnalité, là aussi ça agit comme un miroir et les personnes auraient peut être envie de se sentir épanouies, de parler devant une caméra comme je le fais, mais ne se sentent pas de le faire.
Donc plutôt que de se dire « ouah je vais entrer en contact avec lui, il va peut être m’aider », mais on a tellement peur qu’on transforme les choses, on élabore tout un scénario, on commence à critiquer, à se justifier pour ne pas faire face à ses peurs.

Et tout ça se fait de manière inconsciente. Donc en réalité, quand vous êtes critiqué, c’est un encouragement, vous inspirez les personnes.

A quoi cela sert-il de se raconter des histoires avec le yoga, “faire” telle ou telle posture et ça y est je suis un yogi si c’est pour être incapable de dépasser ses peurs, d’avoir un manque terrible de confiance en soi?…

Soyez sûrs, et je vous l’ai dit tout à l’heure, si vous faites comme tout le monde, vous aurez les résultats de tout le monde. Si vous voulez avoir des résultats extraordinaires, il faut faire des choses qui sortent du cadre et accepter d’être critiqué en faisant des choses différentes, c’est clair et net, et ça fait partie du chemin pour réussir.

D’ailleurs, réussir c’est pas forcément réussir financièrement, c’est trouver ce pour quoi on est fait et aller là, parce qu’on sait profondément au fond de nous même qu’on est faits pour ça et on a cette capacité.

Avant de continuer, pour être sûr que vous puissiez faire la part des choses et pour éviter de se méprendre, je voudrais vous inviter à vous poser des questions, pour être sûr que vous êtes sur le bon chemin.

Cette question c’est de se dire : par rapport à ce vers quoi je veux aller, par rapport aux actions que je mets en place, est-ce que ça va dans un sens qui me sers, qui est bon pour moi ?

La 2e question c’est de se dire : à travers ce que je vais faire, ça va impacter positivement la vie de combien de personnes ?

Prenez le temps de réfléchir là-dessus, de manière directe ou indirecte, on peut impacter des milliers ou millions de personnes de manière indirecte.

Et puis, question inverse, est-ce que ça nuit à quelqu’un ? A combien de personnes ? Et pourquoi ça leur nuit ?… Cela fait partie des principes éthiques de base du yoga (c’est ce que j’enseigne à mes élèves lyonnais) de s’assurer que notre activité ne nuit pas à qui que ce soit.

Vous êtes bien d’accord avec moi que si ça nuit aux personnes qui vous critiquent alors que vous êtes source d’inspiration, c’est leur problématique personnelle, une question de perception personnelle, vous n’allez pas vous punir vous-même des erreurs d’autrui, c’est leur problème, il va falloir qu’ils les dépassent, c’est comme ça, il faut l’accepter et c’est tout.

Maintenant, je vais prendre un autre exemple qui me vient. Admettons que ce que vous faites ça va entraîner l’interruption de la vie de certains êtres vivants. Il est bien évident que c’est à prendre en considération.
Si ça va mettre en difficulté matérielle des familles qui vont désormais vivre dans des conditions modestes parce que vous les avez écrasées, etc.

Je dis n’importe quoi mais prenez en considération si ça va nuire à quelqu’un, à combien de personnes, comment et pourquoi.

Et si vous ne trouvez pas vraiment, vous pouvez vous poser la question : à qui ça pourrait nuire si ça nuit à quelqu’un ?

Faites le point aussi là-dessus pour être sûr de ne pas faire fausse route.

Si vous êtes ok avec tout ça, si vous croyez en vous, si vous êtes prêt à tout donner, si vous avez le désir de réussir, qu’il est plus grand que vos peurs et que vous êtes prêt à aller au-delà, à passer à l’action, vous êtes exceptionnel. Et si vous êtes exceptionnel, c’est pas à prendre avec un orgueil mal placé mais ça veut dire que vous sortez du cadre, vous êtes une exception, pas comme tout le monde, il faut en prendre le parti et vous avez des choses différentes à faire.

Si on vous critique, prenez les choses comme elles sont, continuez, vous savez que vous êtes source d’inspiration pour ceux qui vous critiquent, c’est pas un problème.

Mon message, de mon côté, si vous êtes au clair avec vous-même, vous vous êtes posé des questions au préalable, vous savez ce que vous faites, vous savez que c’est bon pour vous, pour les autres, que vous avez un impact positif, que vous ne nuisiez à personne, je vous encourage à foncer, à continuer, à regarder plus loin, à avoir un regard beaucoup plus profond sur tout ce que représentent ces critiques, jugements, trahisons, etc. Parfois, derrière tout ça, il y a des encouragements.

Au contraire, prenez le comme ça parce que c’est comme ça. Prenez votre vie en main, allez y, n’ayez pas peur, foncez !

J’espère que ça va aider beaucoup de gens, même indirectement s’il n’y a que peu de vues.

Ne mésestimez pas les choses que vous faites et l’impact que ça peut avoir, bonnes ou mauvaises choses. Mais si vous sentez que vous avez une raison d’être, que vous avez une mission à faire, quelque chose à accomplir, faites le. Parce que vous ne pouvez pas vous rendre compte à quel point c’est important que vous le fassiez.

Faites-le.

A bientôt.