* Yoga: combien de fois par semaine?

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Bonjour mes amis, ici François, expert de méditation, de yoga et de relaxation à lyon.

Je vais aborder aujourd’hui une question qui est souvent posée, à savoir lorsqu’on vient une fois par semaine au cours de yoga, est-ce suffisant pour progresser ?

Déjà, on pourrait se dire, progresser par rapport à quoi ? Parce que bon, chacun se fait une idée plus ou moins précise de ce que le yoga peut apporter et surtout plus ou moins complète. On va dire que pour la plupart d’entre vous, ce que vous cherchez par la pratique hebdomadaire du yoga, une fois par semaine, c’est déjà de pouvoir se faire circuler l’énergie et avoir l’impression de mieux gérer le stress, très basiquement.

Après ça passe par un travail sur le corps, où on va assouplir un peu le corps petit à petit et d’autres personne me posent la question « pour trouver plus de mobilité, pour assouplir, est-ce qu’une fois par semaine ça va suffire ? »

Et bien oui ! Parce que ça fait peut être 20, 30, 40, 50 ans que vous faites rien du tout.
Alors entre faire rien du tout pendant des années et d’un coup venir une fois par semaine, c’est 50 fois dans une seule année, ça fait une grosse différence, c’est clair.

Après, bien entendu, dans les activités physiques ordinaires, on dit habituellement qu’une fois par semaine c’est juste un entretien à peine, 2 fois par semaine on progresse doucement et si on veut progresser un peu plus il faut faire 3 fois par semaine. Dans les activités physiques ordinaires, on parle souvent d’une telle fréquence pour s’entraîner. On pourrait parler d’entraînement mais les exercices physiques que l’on pratique dans les séances de hatha yoga, on les pratique de manière totalement différente, en tous cas tel que j’enseigne le yoga à Lyon.. On les pratique en permanence, en tout cas dans les cours de yoga à Lyon c’est comme ça que je fais et c’est comme ça qu’il est souhaitable de faire, il faut faire participer toutes les composantes de son être.

C’est-à-dire que, trop souvent, dans les activités physiques ordinaires, on met en mouvement le corps, on voit des gens qui écoutent de la musique, ils dansent à moitié, ils partent ailleurs, ou même certains discutent avec leurs collègues d’entraînement, d’autres passent leurs coups de téléphone, d’autres sont sur un tapis roulant et regardent une émission en courant sur le tapis.
Ou la personne est là, on n’a pas forcément l’impression qu’elle fait autre chose en même temps que son exercice physique, mais pour autant, intérieurement il se passe plein de choses, le mental est occupé par un tas de pensées, mais bon, le mental n’est pas là avec le corps. Et donc, l’efficacité que l’on obtient, ne serait-ce que sur le plan physique, sur l’assouplissement du corps, entre le fait d’avoir le corps qui fait un mouvement et que toutes les autres composantes de notre être sont partout ailleurs et le fait d’être pleinement, le mental, le corps, ensemble, et même le plan émotionnel, être à l’écoute de l’énergie qui circule et mettre tout ça ensemble, être en intériorisation et en communion avec son corps, dans toutes les composantes de notre être, ça produit un résultat complètement démultiplié.

J’expliquais hier à un cours qu’entre pratiquer une fois par semaine comme ça et pratiquer 3 fois par semaine comme on pratiquerait une activité physique ordinaire, eh bien de manière très surprenante on a beaucoup plus de résultats qui se voient sur le corps en une fois par semaine quand on a vraiment l’intériorisation: cela révèle toute la différence qui existe entre les exercices physiques ordinaires et les exercices physiques du yoga lorsqu’il sont conduits de manière correcte.

Donc soyez rassurés, si vous venez une fois par semaine, vous allez vraiment progresser de manière extrêmement notable, si vous avez du mal par exemple à monter les jambes vers le haut, à prendre cette position qu’on appelle la posture sur les épaules, la posture de la chandelle, et que c’est difficile pour vous de décoller ou alors vous avez très peu de flexibilité, vous allez être vraiment surpris de voir comment vous allez progresser.

Bien entendu, quand je dis qu’il faut venir une fois par semaine, c’est pas une fois par semaine une fois sur 3, parce que dans un tel cas ça devient une fois et demi par mois. Je parle de vraiment venir une fois par semaine au cours de yoga. Dans notre cours de yoga, on garantit au moins 38 semaines de cours sur chaque cycle annuel donc bon, venez une fois au moins comme ça. Ensuite, bien entendu, si vous avez envie d’approfondir un peu plus, si vous pensez que vous pouvez faire 2 séances de yoga par semaine, que vous vous êtes prouvé à vous-même que vous êtes discipliné pour venir une fois par semaine et que vous souhaitez venir 2 fois par semaine pour aller plus loin, et bien vous le pouvez.

Au-delà de 2 fois par semaine, parce que dans certains centres de yoga il y a des formules illimitées, ça existe dans les grandes capitales comme à Paris ou dans le reste de l’Europe, il y a des studios de yoga qui sont immenses, tellement immenses avec des moyens tellement énormes qu’on offre des possibilités de participer de manière illimitée.
Ici à Lyon ça n’existe pas à ma connaissance ou alors sur des formules qui sont beaucoup plus onéreuses que celles qu’on propose le plus souvent.

La question de faire plus de 2 fois par semaine, après c’est autre chose. Si on considère le yoga de manière véritable, si on a bien compris ce que c’est que le yoga, que c’est vraiment une pratique de yoga qu’on veut faire, c’est-à-dire travailler sur toutes les composantes de son être, et en particulier la composante la plus profonde, la composante spirituelle. Eh bien, il y a un travail spirituel à faire, et, au-delà de 2 fois, je considère que bon, il faut faire un travail autonome chez soi, c’est pas la peine de venir 3 fois ou plus dans un studio. En effet, l’étape suivante, c’est vraiment développer l’autonomie, la responsabilisation, et donc faire ça en dehors du cadre.

Voilà ce que j’avais à partager avec vous. J’espère que ça vous a aidé, clarifié un peu cette question que beaucoup d’entre vous ont.

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Le jugement

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Bonjour mes amis, ici François, expert de yoga, méditation et autres techniques de bien être.

Aujourd’hui, je voulais vous parler du jugement. Vous savez, on entend souvent parler de ça. Du genre, « oui mais avant, quand tu dis ça, tu es dans le jugement », comme si on pouvait réduire cette notion de jugement à un sens d’accusation, à un sens de condamnation, comme si le jugement ne pouvait prendre que cette forme péjorative.

En réalité, ce n’est pas que ça, il y a d’abord plusieurs sortes de jugement :

  1. le jugement de valeur, qui s’appuie sur des choses subjectives, pas vraiment sur des choses tangibles, et chacun peut penser des choses différentes au sujet de telle personne ou telle situation, en ce sens, on parle de jugement de valeur.

2. Il y a les jugements de faits, par exemple si je dis « mon tshirt est jaune », on est tous d’accord là-dessus sur le fait qu’il est jaune. C’est un fait, mais aussi un jugement.


Si je dis que je suis dans un joli parc, certains diront que c’est super joli, plutôt que de dire « ouais mais y a la barrière derrière c’est moche », et là on rentre dans le jugement de valeur.

Tout ça pour dire qu’on ne peut pas restreindre le jugement à quelque chose qui serait négatif, et bien souvent quand on ne se sent pas à l’aise avec un jugement, on sort de la boite à outils, on dit qu’on est dans le jugement, comme ça on refuse tout en bloc.

En réalité, on peut approfondir les choses, y compris dans les jugements qu’on pense être des jugements de valeur. Parce que parfois il y a des choses qui n’apportent rien à qui que ce soit, que ce soit celui qui exprime le jugement et celui qui reçoit. Parfois, au contraire, il y a des appréciations qui peuvent être constructives pour autant qu’on le prenne comme ça.

Tout à l’heure j’en parlais beaucoup avec Emilie, elle avait une manière d’exprimer les choses, elle avait une manière assez sympa d’exprimer les choses. Est-ce que tu veux développer un peu Emilie ?

E : Quand on parle de jugement, il est nécessaire d’en parler avec beaucoup de clarté. Comme le disais François, on peut parler de jugement, mais aussi de constatation, et ce sont deux choses bien différentes. Une constatation, j’employais le terme tout à l’heure de constatation lucide, c’est établir un fait, comme l’exemple « ce maillot est jaune », sans y ajouter par-dessus une connotation ou une couleur qui pourrait être « je n’aime pas le jaune » ou « ce maillot ne lui va pas ». Souvent, au lieu d’établir de simples constatations avec clarté et lucidité, on va tout de suite rentrer dans le jugement, parce qu’on est emballés par notre état émotionnel, parce qu’on est dans une société où il faut constamment tout faire rentrer dans des cases, qu’il faut constamment juger. Parce qu’autrement, ça n’a pas de sens, pas de compréhension.
C’est complètement erroné. Il y a d’une part cela que l’on peut constater dans la société, au lieu de faire de simples constatations, on rentre très vite dans un jugement. Et puis, il y a aussi un autre aspect, quand on énonce une constatation qui est prise comme un jugement. Et là, c’est très embêtant également parce qu’on n’est pas dans le cadre d’une relation authentique et constructive. On est dans une relation biaisée où il y a forcément un sentiment de malaise qui se crée entre les deux personnes. Donc on peut tout à fait constater quelque chose vis-à-vis de la personne qui en parle, sans que ce soit ni pour lui faire du bien, ni faire du mal, mais simplement une constatation. Il y a problème à partir du moment où la personne en face reçoit la constatation, ce message, et y ajoute une couleur affective, psychologique. Et ici, eh bien on se retrouve très vite dans une impasse, il n’y a pas de véritable relation. Tout ceci, c’est dommage, ça amène très fréquemment à des conflits, des mésententes, des incompréhensions et même des non-dits car des personnes, à force de vivre dans ce schéma de jugement, en viennent à ne plus dire ce qu’elles peuvent ressentir. C’est vraiment dommage.

F : On fait une censure à ce moment et ça ne permet plus à la personne d’avoir cette liberté de s’exprimer. Est-ce que, à tout hasard, il te viendrait un exemple où c’est comme ça, comme tu viens de le décrire, et donner un contre exemple pour dire comment on pourrait s’y prendre à la place ?

E: Oui, on va parler par exemple d’un cours de yoga, ça pourrait être une bonne situation. On prend tous une posture et l’enseignant parle aux élèves pour voir comment ils peuvent plus cheminer dans la posture. Quand on parle d’entrée d’une posture, je voudrais préciser qu’on ne cherche pas à arriver à une posture carte postale, mais l’important c’est de comment on chemine dans la posture. L’enseignant de yoga, il y a normalement cette lucidité et cette tranquillité où il est à même de dire à cet élève en face, là tu pourrais aller un peu plus loin, tendre un peu plus ta jambe, essaie d’ouvrir un peu plus ton épaule, voilà. La personne en face, il y a 2 possibilités, soit peut se crisper, parce qu’elle l’entend comme un jugement, ça peut être que dans sa tête elle se fait un film…

F : Un jugement perçu négativement donc.

E : Oui. Ce peut être « je suis vraiment nul, j’y arriverai pas, je fais pas comme les autres ». Forcément on se juge en se comparant aux autres personnes. Donc elle se crispe et ici l’enseignant ne peut pas avoir de relation constructive avec son élève, alors que dans une situation plus sereine, l’enseignant va dire « tu pourrais tendre davantage ta jambe, ouvrir plus, regarde ce que ça fait ». L’autre va simplement prendre ce constat comme tel et rien n’y rajouter et rentrer plus tranquillement dans la posture. Ici il n’y a pas d’entrave, d’obstacle dans la relation. On parlait ici d’un jugement négatif mais ça peut aussi être un jugement positif mais qui n’en est pas vraiment un. C’est-à-dire un élève à qui on dirait « ta posture est très bien ». Et l’autre du coup se gonfle d’égo, et une fois qu’on a l’égo bien gonflé, on est arrivé au top, et on n’avance plus. C’est dommage, parce que dans la pratique d’une posture on peut toujours aller plus loin, il n’y a jamais de finalité.

F : Oui, oui.

E : Un jugement, finalement, on y attribue une couleur positive ou négative, mais en fin de compte, dans l’absolu, il n’y a pas de positif ou négatif, c’est un jugement qui est connoté par des résidus psychologiques.

F : Oui. Bon, écoute, je te remercie au nom de tout le monde, très bon développement, moi j’ai beaucoup aimé en tout cas, et je pense que la manière dont tu as expliqué les choses c’est compréhensible de tout le monde. C’est quand même une vidéo qui mérite d’être écoutée plusieurs fois parce qu’à chaque fois vous allez avoir des éclairages, des choses que vous avez pas tout à fait appréhendé tout de suite comme ça parce que c’était très riche. C’est essentiel, vous avez eu des clés pour l’attitude à avoir pendant les cours de yoga pour aller au-delà de cette notion de jugement, ce sentiment de comparaison, compétition, pour aller tout ça et s’établir, prendre l’habitude de s’établir dans un rapport simple avec son enseignant et après transférer tout ça dans sa vie quotidienne et avec ses rapports aux autres aussi.

* Victime, simple “fan” ou responsable?

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Bonjour mes amis, ici François, expert de méditation et de yoga à Lyon. 

Je me trouve à nouveau avec avec Emillie, professeur de yoga à Lyon de l’association yoga satyam à Lyon Bellecour et qui reçu la transmission par Alain Bonnet l’un des plus grands spécialistes du yoga à Lyon mais on va parler d’un autre sujet. Je vais la faire parler aujourd’hui, comme je vous disais on a beaucoup échangé tout à l’heure, on a parlé de plein de choses, et puis on a parlé du fait de se sentir victime parfois de certaines situations, dans notre vie, au quotidien. Victime de certaines personnes aussi, parfois on prend l’habitude de se plaindre systématiquement et de reporter la faute sur les circonstances extérieures.

Si on fait tout le temps de cette manière, de temps en temps ça arrive à tout le monde, à nous les premiers je pense, mais si c’est quelque chose de récurrent, ça devient une véritable habitude. C’est-à-dire qu’au fond on n’est jamais responsable de quoi que ce soit. Et ça, c’est la cause de tous les malheurs, et là, pour en avoir parlé ensemble tout à l’heure, j’aimerais bien que tu développes ce sujet de la responsabilité.

Emilie :  Alors, on a tous une manière de vivre qui peut être très limitante, une pauvreté de vie psychologique et émotionnelle. Parce qu’entre autres nous nous posons en victimes. Et on le fait consciemment ou inconsciemment Consciemment quand ça nous arrange bien de faire porter le chapeau à quelqu’un pour ce qui nous arrive, comme ça, ça permet de ne pas trop réfléchir non plus… ou inconsciemment, on ne se rend même pas compte qu’on accuse les autres de choses que l’on a créé soi-même. C’est de là que tout part, nous créons vraiment nos pensées, nos actes, nos attitudes, autant physiques que mentales et psychologiques. Et tout cela ne vient pas de l’extérieur, c’est pas l’extérieur qui nous impose ce que nous faisons et nous pensons, mais c’est vraiment l’intérieur.

C’est de l’intérieur que tout sort.

Et c’est vrai qu’inconsciemment, on va très facilement reporter la responsabilité de ce qui nous arrive. Quand il nous arrive des choses agréables, ça, pour le coup c’est agréable de dire que c’est nous qui en sommes les créateurs, les garants. Et quand c’est moins agréable, alors là… de regarder en soi, observer et puis de regarder avec honnêteté et sans jugement surtout, ce n’est pas la peine de se blâmer, fouetter, ça ne sers à rien. C’est juste un moyen de se victimiser encore un peu plus. Mais simplement d’observer tranquillement et sans commentaires son jugement qu’il y a telle situation qui ne nous plait pas, mais qui est arrivée parce qu’il y a eu tel et tel élément qui se sont mis en place ; et comment est-ce que nous, nous avons déclenché ces éléments. Et ça permet d’abord d’être plus clair vis-à-vis de la situation, d’y trouver très facilement une solution. Parce que simplement d’observer ça élucide beaucoup de choses, ça permet de ne pas accuser les autres, de ne pas penser en mal aux autres, du coup de rester en bons termes, en bonne harmonie avec tous ceux qui nous entourent. Comme on le disait au départ, ça permet d’être responsable réellement de sa vie, de savoir la prendre en main avec une attitude ferme, stable et constructive.

François : Très bien. Merci beaucoup, t’es bavarde dis donc, superbe ! Moi ce que j’ai retenu d’intéressant dans ce qu’a dit Emilie, particulièrement intéressant, parce que tout l’était, je vous invite à réécouter la vidéo d’ailleurs, ça aide. Mais prendre l’habitude d’observer ce qu’il se passe en nous. Parce que souvent, quand on a quelque chose de désagréable, on est très sélectif. Ce qui nous plait, on veut bien le voir, vivre avec, essayer de le prendre à bras le corps, vivre ça pleinement. Et ce qui ne nous plait pas, au contraire, on le rejette. Et donc, étant dans cette habitude de rejeter ce qui ne nous plait pas, on prend le temps d’observer ce qu’il se passe, et finalement ça empêche toute possibilité d’évolution, toute possibilité de mieux se connaître soi même, de mieux comprendre comment on fonctionne et de mieux cerner ce qu’il y a à changer pour évoluer. Observez, c’est très important de ne pas mettre le couvercle sur les émotions et de vivre avec les émotions. Il y a une vidéo à ce sujet, qui peut être très intéressante, c’est « Aimez vos émotions », vous cherchez sur la chaîne pour voir comment vous y prendre dans ce genre de cas, quand vous avez des choses désagréables qui sont là.         D’autre part, pour la responsabilité, pour les choses qui sont parfois agréables, mais où on voit le côté agréable seulement à l’extérieur.
Je vais prendre l’exemple, tu dois l’avoir aussi Emilie dans tes élèves, de ceux qui disent « oh comme tu es zen, calme, j’aimerais être comme toi », et on vient faire sa séance de yoga, certes au bout d’1h30 de séance on est détendu et on dit « ça c’est vraiment ma bouffée d’oxygène » et après très vite tout redevient comme avant.

Et on vit avec cette idée que ma foi, François ou Emilie c’est normal qu’ils soient comme ça, ça fait je ne sais combien de temps qu’ils “font” du yoga, et moi je suis dans ma position « je ne peux pas être comme lui », on se déresponsabilise complètement, parce que vous pouvez très bien vous prendre en charge, nous on est là pour vous guider, on ne fait pas de rétention, on est là pour partager, pour vous donner accès à tout ce qu’on connait, pour vous permettre, vous aussi, d’atteindre ce que vous percevez chez nous comme cette zénitude, ce calme, cette paix, etc.

C’est accessible pour vous. Là aussi, il ne faut pas se déresponsabiliser, se comporter comme des fans, et être là à ne rien faire. C’est pas comme ça qu’il faut faire. Au contraire, on est là pour que vous nous accompagnez sur ce chemin, pour que vous deveniez vraiment des compagnons de chemin et pour qu’ensemble on puisse évoluer vers plus de paix, de fraternité, entre les êtres humains, entre les peuples, faire plus d’unité… cela sert à ça le yoga.

On a besoin de vous, on a besoin que vous aussi vous vous responsabilisiez, donc engagez vous. Faites les cours, faites aussi des pratiques quotidiennes comme la récente vidéo que j’ai faite sur la posture de yoga, vous pouvez pratiquer tous les jours, c’est une vraie pratique de yoga.

Faites « 2 mois pour une vie nouvelle », participez aux stages de yoga, engagez vous une bonne fois pour toute et les choses vont changer.

Récemment aussi, il y avait le témoignage de Lise-Marie, elle, elle a passé une année, elle a fait les cours de yoga à lyon avec moi, le cycle « 2 mois pour une vie nouvelle » pour apprendre à méditer et être plus heureuse, le stage de yogaen Inde, elle m’a aidé aussi dans tout ce qui concerne le fonctionnement de l’association de yoga.
A la sortie, c’est la loi de cause à effet, elle a posé des actes et ça produit des résultats, elle a opéré un changement très important dans sa vie, avec plus de bonheur pour elle et pour ses proches.

Si vous avez aimé, n’oubliez pas de vous abonner si ce n’est pas encore fait, laissez des commentaires, on est là pour vous.

A bientôt mes amis pour une prochaine vidéo, au revoir !

* Le sourire Indien.

e prochain  séjour en Inde sera un stage de bien être d’environ 10 jours qui se déroulera à Pondichéry au mois d’Août 2016: Si vous êtes intéressé(e), envoyez un message avec vos coordonnées:

Je souhaite avoir des informations sur le prochain stage de Yoga en Inde avec Palden.

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* Boire et manger en pleine conscience – méditation à Lyon

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Bonjour mes chers amis, François, expert de yoga, méditation et autres techniques de bien être.

Aujourd’hui je vous dis juste bonjour avec cette petite vidéo qui va être suivie d’une séquence, une vidéo prise il y a 4 ou 5 ans où j’expliquais comment se nourrir et comment boire en pleine conscience, vous allez voir c’est intéressant. Mais il faut que vous ayez un petit quart d’heure devant vous, elle a été diffusée sur une autre chaine youtube et a été vue 2500-3000 fois et beaucoup de personnes qui l’ont regardée ont été très intéressées. Je vous laisse apprécier cette séquence, je vous retrouve à la fin pour vous saluer.

Bonjour à tous.

Aujourd’hui je voulais vous parler de la pleine conscience et plus particulièrement de comment boire et manger en pleine conscience. qui est une forme de méditation ou de pratique de yoga très intéressante en ce sens que vous pouvez l’intégrer dans une activité ordinaire: celle de manger ou de boire! Du coup cette activité est magnifiée et elle n’est plus du tout ordinaire au sens habituel du terme. C’est vrai que bien souvent, par rapport à notre pratique de yoga, et par rapport à toutes les occupations qui sont les nôtres, et bien on a l’impression que l’on a pas toujours le temps d’accorder du temps à la pratique des postures ou de la méditation et somme toute c’est pas facile. Et souvent la question revient « oui mais comment je peux intégrer le yoga dans mon quotidien ? »

Et bien le fait de boire, manger en pleine conscience, c’est une possibilité d’intégrer sa pratique  du yoga dans le quotidien! Pourquoi ?

Et bien il n’y a pas longtemps j’ai vu quelque chose qui m’a parlé parce que c’est tout à fait vrai. J’ai vu une maxime, une phrase comme ça qui disait que dans tout ce qu’on mangeait il y avait un tiers qui était vraiment nécessaire pour notre corps et deux tiers pour les médecins simplement. Alors, si on s’habitue à manger 30% de ce que l’on mange, c’est vrai que ça remet en cause la théorie des calories mais on peut expérimenter, si on mange un petit peu moins, juste ce qui nous est nécessaire, et puis qu’on mange en pleine conscience, on va avoir du temps pour manger. Parce que c’est vrai que d’habitude on met 15, 20 minutes pour manger, et là si on mange 3 fois moins de nourriture, eh bien en 15, 20 minutes on va manger beaucoup moins aussi. On peut s’accorder un peu plus de temps pour manger et plutôt que de regarder la télé, des choses comme ça, qui sont inutiles, il y a facilement des choses sur lesquelles on peut renier.

Au lieu de passer 15-20 minutes à manger, prendre 45 minutes pour manger tranquillement et être entièrement dans ce que l’on fait comme ça… voilà cela c’est un merveilleuse pratique de la méditation de pleine conscience, de l’union, du yoga!  Ça va nous permettre, en mâchant lentement, de prendre vraiment tout ce que les aliments peuvent nous apporter au niveau des nutriments, on va absorber beaucoup plus le prana, l’énergie vitale contenue dans les aliments, et on va pouvoir dépasser la théorie des calories.

Et puis, quelque chose qui n’est pas un moindre intérêt aussi, on va beaucoup moins fatiguer l’organisme pour tout ce qui est processus de digestion et donc après avoir mangé en pleine conscience, on va préserver totalement notre énergie pour poursuivre nos activités alors que d’habitude, on voit bien qu’on a tendance à sombrer, on penserait qu’à une seule chose c’est si on pouvait aller faire une petite sieste, malheureusement ce n’est pas toujours possible et quand ça l’est on va passer 2h à sombrer dans le sommeil et on ne fera rien ou alors on ne va pas fonctionner de manière efficace car le sang sera mobilisé vers tous les organes digestifs.

Donc si on s’organise intelligemment, on peut faire une pratique mindfulness en mangeant en pleine conscience sur 45mn à peu près et environ 3 fois moins que ce qu’on mange habituellement. Après comment on fait ça ? Eh bien, il faut être vraiment dans ce qu’on fait. La pleine conscience c’est centré sur l’expérience du moment, quoi que l’on fasse et ici ce qu’on va faire c’est boire et manger. Et là, ça va nous permettre d’être vraiment dans ce qu’on fait et que l’esprit soit présent avec le corps pour que l’on puisse retrouver cette paix et cette harmonie sans que l’on soit dispersés entre des pensées qui sont de l’ordre du passé ou de l’avenir, des choses qui n’existent plus ou pas encore. On va vraiment mettre notre corps et notre esprit ensemble dans le fait de boire et de manger en pleine conscience.

C’étaient des explications préalables, maintenant je vais vous montrer concrètement, je suis en train de me verser une petite tasse de thé et je vais vous montrer comment ça se passe.  Dans cette vidéo il y aura des petites périodes de silence, simplement pour que vous-même vous puissiez faire la pratique et avoir une concrète idée de comment ça se passe. Je viens de prendre un verre et je peux le prendre à deux mains, très soigneusement, comme ceci. Vous voyez que je prends conscience du contact de mon corps avec le verre.
Et en particulier ici des doigts, des mains. Et je peux apprécier, véritablement sentir quelles sont les parties de mes mains qui sont en contact avec cette tasse. Et alors que j’ai les yeux clos, je peux me faire une représentation intérieurement de cett tasse, de sa forme, voilà. Je suis pleinement attentif à toutes les sensations qui sont à relier à cette expérience, où je m’apprête à boire mon thé. Je peux même sentir ici, ce que je sens en ce moment, la température du thé. Voilà. Puis doucement, je peux monter la tasse, en étant conscient des mouvements des muscles qui sont mis en jeu pour monter la tasse vers ma bouche. Et avant de boire le thé, je peux utiliser mon sens olfactif…et sentir l’odeur du thé.  Et puis venir poser la tasse sur le bord de la lèvre inférieure, et sentir le contact de la tasse avec la lèvre inférieure. Sentir le contact du thé sur la lèvre supérieure. Je prends une petite gorgée… Et… vous avez pu remarquer que quand j’ai introduit un petit volume de thé dans la cavité buccale, je prends pleinement le temps d’apprécier cette expérience même qui est de boire mon thé. Je peux sentir le contact du thé avec la langue, les papilles, les dents, l’intérieur des dents, l’extérieur des dents, l’intérieur des joues.  Je peux être attentif au goût du thé, à la consistance, et je m’applique à manger mon thé.A faire tourner le liquide dans la bouche pour développer toutes les sensations que je peux associer à cet acte même de boire, pour dire en quelque sorte même de manger mon thé.

Ensuite, quand dans ce liquide, dans ce thé, j’ai mis toute ma conscience, et qu’enfin je laisse glisser le liquide dans la gorge et dans le tube digestif, je vais vraiment nourrir mon corps et envoyer dans mon corps toute cette énergie de pleine conscience qui va venir prendre soin véritablement de mon corps et vraiment le nourrir de manière vraiment divine.

Donc voilà, c’est cela, boire en pleine conscience… manger en pleine conscience.

Ensuite, je repose ma tasse lentement, extrêmement lentement, en étant parfaitement conscient de mon geste. Vous savez comme font les gens dans le taichi par exemple, les mouvements très lents. Et on pose délicatement son verre en pleine conscience. On peut remarquer qu’à l’inverse on est en train de discuter, de faire plein de choses, et puis plaf, vous avez une tasse de thé qui se renverse sur la table, simplement parce qu’on n’a pas été conscient.

Maintenant, manger en pleine conscience. Cette fois ci, on part de l’idée de manger, et on va s’orienter vers l’idée de boire cette nourriture. Et c’est exactement la même chose. Ici, j’ai une petite soucoupe de riz par exemple, et je suis bien conscient de mon geste, quand je monte la soucoupe vers moi je prends tous mes doigts et je décris l’expérience que je suis en train de vivre. Je sens déjà tout de suite une différence de température. Tout à l’heure la tasse était chaude, cette soucoupe est froide. Et puis je peux vraiment, derrière mes yeux clos, tout à fait identifier qu’il s’agit d’une matière différente. Tout à l’heure c’était du verre, là je sens que ce n’est pas du verre. Je sens que c’est autre chose, une matière plus froide. Je sens que la forme de cette petite soucoupe est très différente. Et puis je sens, entre l’index et le majeur, le manche de la petite cuillère. Je peux approcher doucement de mes narines et sentir… Et mettre toute ma présence dans cette conscience de l’odeur qui est dégagée par la nourriture.  Doucement, prendre conscience du contact des doigts avec la cuillère, ouvrir les yeux, prendre une petite cuillère, faire bien attention de ne rien renverser, être vraiment présent.

Voilà, je l’ai fait en légèrement accéléré pour les besoins de la vidéo évidemment, mais vous avez pu distinguer que le procédé est le même lorsque je bois en pleine conscience, je prends mon temps, je suis attentif à tout ce qui peut m’être évoqué niveau mental via mes sens, que ce soit au niveau visuel, du toucher, de l’odeur, du goût. Et je pourrai aussi être attentif aux sons, en particulier lorsque soit le thé, soit la nourriture bouge dans votre cavité buccale, on va être attentif. Il y a des sons qui sont vraiment spécifiques au thé, ou au riz, ou à d’autres nourritures, les sons ne seront pas les mêmes.

Vous remarquerez aussi que quand vous êtes vraiment conscient du goût, il est bien plus prononcé, c’est vraiment incroyable ce que vous vivez par rapport à d’habitude. Vous appréciez tellement plus…

Et, le grand bénéfice c’est que vous ne pensez à rien d’autre. Vous êtes en paix. Et vous avez pratiqué vraiment la méditation. A travers des choses que de toutes façons vous faites, si vous passez 2 fois plus de temps. De rogner sur la télévision, vous pouvez trouver le temps. Et de manger moins, vous verrez que c’est pas un souci du tout. Ainsi vous ferez votre pratique et vous passerez 30-40 minutes à pratiquer… Et je peux vous dire qu’ici vous ne limiter votre pratique au plan physique vous rentrez au coeur de ce que devrait être une pratique authentique de yoga.

C’était pour vous donner quelques explications qui vont vous permettre de pratiquer de manière autonome sans que vous ayez besoin d’explications, surtout pour ceux qui vont venir chez moi dans le temple pour faire cette pratique. Et bien, on s’installe dans le silence directement et à ce moment là je ne donne pas d’explications, cette vidéo fait office.

Merci d’avoir regardé cette vidéo, à bientôt, au revoir !