Soyez là, bien là…

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Soyez là, bien là…

Tout est impermanent.

Et à ce sujet, par rapport aux choses auxquelles on est attaché, les choses que l’on souhaite, désire et que l’on n’a pas toujours spontanément, d’emblée. On a parfois besoin de fournir beaucoup d’efforts voire de souffrir, d’accepter un certain nombre de privations, de faire des efforts pour obtenir certaines choses que l’on souhaite.

C’est vraiment une souffrance. Une forme de souffrance qui est liée au fait de produire tous ces efforts pour obtenir ce que l’on souhaite.

Une fois qu’on a les choses, eh bien on peut expérimenter une autre forme de souffrance qui est de craindre de perdre ce qu’on a mis du temps à acquérir.

Mais à un moment ou un autre, on sera confronté à cette souffrance de quitter ça aussi : nos possessions, les êtres que l’on aime, de toutes façons. Et dans le meilleur des cas ce sera au moment de la mort, mais ce sera peut être avant. De toute façon, à un moment ou un autre, ça arrivera. C’est comme ça. On doit comprendre aussi cette chose là et profiter des choses quand elles sont là. En être heureux. Et très souvent on cours après un bonheur illusoire.

Un futur illusoire

C’est comme si on mettait entre les mains d’un futur illusoire notre bonheur.

Comme si on ne pouvait jamais l’attraper, qu’il nous échappait. On court après. Et même si on a ce qu’on voulait, on veut autre chose, on n’est jamais pleinement satisfait.

C’est-à-dire que là, vivement Noël. On n’est pas là, on est déjà à Noël alors que Noël n’existe pas encore. Et puis quand on sera à Noël, vivement le jour de l’an, parce qu’on va se réunir en famille, machin, ceci, cela. Et quand on sera au jour de l’an, vivement telle date parce que tel ami viendra nous voir, ça fait longtemps qu’on l’a pas vu, etc.
Ensuite vivement les grandes vacances, au bout d’un moment on veut retourner au travail, et ainsi de suite. Ça n’arrête jamais.

En gros, c’est vivement le cimetière ! Bah oui !

On est pressé d’aller au cimetière !

Mais en fait, il n’y a pas à s’inquiéter pour ça puisqu’on est déjà au cimetière. Parce qu’on est jamais vivant ! On ne vit jamais !

On est déjà des cadavres ambulants, des morts vivants, parce qu’on ne vit jamais l’expérience du moment. Donc on y est déjà au cimetière, pas besoin d’être pressé d’y aller, on y est déjà.


Pour rappel, si vous avez une quelconque question SVP,

prenez le temps au préalable de vérifier si la réponse ne se trouve pas sur la page contact

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